L'antre de Nami

Shigu : Oué le bas. XD (en fait je sais pas ça se trouve il a un sous vêtement un peu ridicule, comment je lui pète son charisme là.)
Je veux bien donner des conseils à l'occaz. XD

Nami: je suis touchée. Ce fut un plaisir pour moi.
Là c'est du Painter Classic, c'est ce que j'utilise pour la colo. Apres pour le cleanage de line et les textures c'est du photoshop en effet.

Myu > Un caleçon avec des nounours ou des coeurs... xD

Ah photoshop...Je viens de le ravoir...faut que je me rapelle comment qu'on s'en sert xD

Kyaaa... vive les bombes sexuelles, je préfère quand meme Eiji héhé... l'indétronable

Purée Myu-chan, tes une pros :wakuwaku:

Moi je sais que tramer sur l'ordi (faut dire aussi que moi et la couleur sa fait deux, quand je pense que je veux être auteur et dessinateur de BD, j'ai intérer à mit mettre )

Nami, continue bien tes dessins et à nous les monré

Ganbarimasu yeah !!

Merci mon p'tit Akuma (faut que je trouve des surnoms débilos à tout le monde moi aussi ^^; ), faudra que tu me dises comment tu trames sur l'ordi tiens.

ça m'intéresse aussi de savoir comment on trame sur l'ordi, donc akuma t'es obligée maintenant de nous faire un tuto ^^

Ouais je veux savoir ça m'intrigue depuis longtemps et j'ai jamais réussi à mettre la main sur un logiciel de tramage. (je trame mes BD avec toshop ^^,)

Ahah !!

Vous voulez vraiment savoir comment je fait hein ??

Ben je les dit sur mon topic

Comme ça sa m'évite de reexpliquer

Merci Akuma ^^

Petite demande les filles !
J'écris pour 30 baiser en ce moment, sur le couple MaruiHara (mes bébés^^) et je voulais savoir si ça vous plairai de les lire ici ou pas, je sais pas si tout le monde adhère au couple ^^
Sinon ce sera en direct sur mon LJ ou bien sur FFnet ^^

Voilà !! ^__^

*va finir son One Shot sur Hyotei maintenant*

Oui, mets les ici ^^
Ne t'inquiètes pas, on aime (presque tous les couples)! Les seuls qui passent pas, c'est pour chacun différent!!!
Mais souvent, lire des fics sur un couple nous fait aimer le couple lol

Je veux bien lire tes fiics! ^^
[ c'est pas comme les livres de français...là je dirai non! XD ]
C'est vrai! C'est bien de découvrir les couples!

Fics promises, fics dues !
On commence par le second theme de 30baiser, avec mes bébés, MaruiHara ^^
Bonne lecture.

Titre : Lettre
Auteur : Nami Himura
Couple : Marui/Kirihara
Fandom : Prince of Tennis
Rating : K
Thème 2. Nouvelle; lettre


C’était un matin comme tous les autres. Levé à l’aurore, Marui Bunta s’était douché et avait englouti comme à son habitude un copieux petit déjeuner, atrocement sucré. A présent, il triait son courrier pensivement. Une carte de sa tante, une publicité. Du baratin sans importance en somme, pas grand chose qui puisse défier le quotidien.

Et puis il y avait eu la lettre. Celle qu’il attendait fébrilement depuis quelques mois. Et que maintenant, il hésitait à ouvrir. Il déglutit avec difficulté, plein de doutes sur le contenu de cette missive. Si la réponse n’était pas celle escomptée, qu’allait il lui dire ?
Coupant court à ses hésitations, Marui décacheta l’enveloppe.

*****

« Hep, Yagyuu ! T’as pas vu Bunta ? J’ai un truc à lui demander… »

« Non, je crois qu’il est en retard aujourd’hui » Répondit le gentleman à son partenaire de double, en regardant l’horloge du collège. « C’est important ? »

« Bah c’est pour l’année prochaine, en fait… S’il a reçu la convocation. »

Kirihara Akaya, à quelques pas de là venait de manquer une balle en écoutant la conversation de ses deux senpais. Une convocation ? Pour Marui ? Il l’ignorait totalement. Aussi rejoignit il rapidement Niou et Yagyuu.

« Niou-senpai. Marui-senpai a été convoqué ? Pourquoi ? Il ne nous a rien dit ! »

« Ah la jeunesse, je vous jure, c’est épuisant… » Soupira Niou, en tapotant la tête d’Akaya. « On n’est pas aussi tranquilles que toi, nous ! Le lycée, ça te dit quelque chose ? Et ben faut bien qu’on en trouve un ! »

Le lycée. Ces deux mots résonnèrent dans la tête de Kirihara, lui brouillant l’esprit pour quelques secondes. C’était trop beau pour durer… L’idylle prendrait donc fin une fois l’année terminée. Comment avait il pu oublier que son senpai quitterait le collège ?

« … Niou-senpai, est ce que tu sais dans quel lycée il veut aller ? » Articula t il avec difficulté.

« Evidemment, c’est le même que le mien. Moi j’ai été convoqué demain pour l’entretien, à mon avis si Bunta n’est pas là ce matin, c’est qu’il est en train d’y passer ! » Avisa Niou, appuyé nonchalamment sur l’épaule de Yagyuu.

« Où ? » Interrogea Kirihara, incapable de poursuivre, la gorge sèche et le regard assombri par l’angoisse. Niou put alors remarquer les tremblements qui secouaient ses épaules et ses mains, et sa respiration saccadée. Il eut un de ses sourires malins et donna un bon coup sur l’épaule de son kohai.

« Tu veux savoir où on va ? Hey, mon petit, on ne plaisante pas avec notre avenir. C’est un lycée tout au Nord du Japon, sur l’île d’Hokkaido, à environ huit cents kilomètres d’ici. Il est situé au pied d’une montagne et a la particularité de développer une section ‘art et enseignement de la vie en montagne’. Ensuite, il y a les études sur la faune et la flore des environs. Bunta a été littéralement enthousiasmé par la formation proposée, n’est ce pas Yagyuu ? Quant à moi, je n’ai pas hésité, la vie sauvage m’a toujours passionné. Il fallait absolument que je découvre ça ! »

« Hum, sans oublier l’expérimentation animale en laboratoire. » Ajouta Yagyuu avec un sourire.

« En plus il paraît qu’on aura des stages de survie ! Mais t’en fais une tête, Akaya ! T’étais pas au courant ? » Termina Niou sur un ton qui se voulait dégagé, rehaussé d’une pointe d’ironie. Et pan. Il était cuit à point. La scène de ménage ou la crise n’allait pas tarder à tomber, et au vu de la tête que tirait son cadet, elle allait être pimentée.

« Ah làlà, tu auras tout le loisir de le questionner quand il reviendra de son entretien » Ricana Niou, en entraînant Yagyuu à sa suite. « Sur ce, on te laisse Akaya, les cours vont commencer… »

Et ils plantèrent là leur kohai, complètement déboussolé et paralysé par le flot de nouvelles aberrantes qu’il venait de recevoir. Bunta, son Bunta… en stage de survie à Hokkaido ? Et pourquoi diable était il le tout dernier à le savoir ? Marui n’avait il donc aucune estime pour lui, au point de lui cacher son avenir ?
Kirihara serra les poings de rage. Très bien. Entre sa foutue montagne et lui, Bunta avait préféré la montagne. Sans lui dire. Ah c’était comme ça. Et bien il la sentirait passer…

****
« Akayaaaa-kuuun ! »

Et voilà. Ca n’avait pas tardé. Les problèmes commençaient dès le lendemain. Et pour Kirihara Akaya, ils avaient pris la forme d’un élève de troisième année aux cheveux d’un rouge éclatant et au sourire innocent.

« Akaya-kun, tu sais je- »

« Tu m’excuses, là j’ai pas le temps, j’ai contrôle d’anglais. » Trancha froidement Akaya.

Et vlan. Kirihara avait intentionnellement évité le regard de son senpai, et s’était tranquillement dirigé vers sa salle, plantant là Bunta totalement ahuri devant la réaction de son kohai. C’était la mauvaise période ou quoi ?

***

« Akaya, on rentre ensemble ce soir ? »

« Demande donc à Niou, voyons. Ce soir, j’ai autre chose à faire. »

« … Quoi ? » Sourit Bunta, qui ne se laissa absolument pas démonter.

« Chacun ses secrets Marui, je te demande pas les tiens que je sache ! D’ailleurs, pour ce que j’en ai à foutre… » Claqua brusquement Kirihara en empoignant son sac et en s’éloignant des courts.

Bunta, abasourdi, passa sa main dans ses cheveux. Pour fréquenter quotidiennement Akaya, il savait que ce dernier avait de temps en temps un caractère brutal et agressif. Mais là, il ne comprenait absolument pas pour quelle raison il se mettait en rogne dès qu’il lui adressait la parole.
Le spécialiste de la volley fronça les sourcils. Quoi qu’il arrive, il lui annoncerait cette nouvelle en premier, et par la force s’il le fallait.

Le lendemain, Bunta arriva dans le couloir des deuxièmes années et se planta directement en face de Kirihara.

« Akaya, je voudrais te parler. »

« Comme c’est dommage, moi je ne peux pas, et je ne veux pas. »

« Et pourtant tu vas m’écouter. »

« Depuis quand as-tu décidé de te prendre pour ma mère ? »

« Depuis que tu me parles comme si tu étais un gamin de maternelle ! »

« Ben le gamin là il a cours d’histoire, lui, alors si tu voulais daigner le laisser étudier pour réussir sa vie, ça lui ferait le plus grand bien ! »

… Et la dispute de s’enchaîner, chacun ne cessant de se renvoyer la balle. Ce qui amusait follement deux autres personnes, positionnés en estafette dans les escaliers.

« C’est bon maintenant, on les a assez observé, rentrons en cours ! »

« Yagyuu. La prochaine fois, on prend des popcorns, rappelle le moi tu veux ? »

« La question n’est pas là, Niou, si on se fait attraper, on va le sentir passer, je te le dis ! »

« Oooh… Vraiment ? Alors qu’est ce qui t’empêche de retourner sagement en cours ? Je ne t’ai pas menotté à moi que je sache ! Si tu es là, c’est que ça te plaît bien à toi aussi, les petits ragots de Rikkaidai… » Se moqua gentiment Niou.

Entre temps, Akaya était rentré dans sa salle de classe, claquant la porte au nez de Bunta, complètement ahuri par la tournure des événements. Soit Akaya était dans sa mauvaise période (ça pouvait arriver) soit il avait eu une mauvaise note aux examens et ça l’énervait profondément au point de vouloir lui cacher… Bon. En tout cas, ça pouvait attendre.

Bunta connaissait bien l’emploi du temps des deuxièmes années. Aussi savait il donc parfaitement que le vendredi, l’histoire était leur dernier cours. Parfait. Il allait attendre.
Au bout d’une heure, la porte s’ouvrit et les élèves en sortirent en papotant joyeusement. Bunta croisa les bras et fit face à Kirihara sans broncher.

« Akaya. »

L’interpellé le regarda un instant, puis le dépassa comme s’il ne le connaissait pas.

« Erreur. » Fit Bunta en l’attrapant par le bras. « C’est par là qu’on va. » Et de l’entraîner dans la direction opposée, derrière le collège, juste à côté des vestiaires, malgré les protestations du brun.

« Bien ! Maintenant tu vas m’écouter du début à la fin. » Déclara calmement Marui, alors qu’il venait de plaquer son kohai contre le mur.

« J’ai rien à écouter, Marui. Franchement, ça te fait quoi de me le dire maintenant ? »

« Comment ça ‘maintenant’ ? »

« Mais tu te fous de moi ? Tu arrives comme une fleur avec ton grand sourire pour m’annoncer ce que je sais déjà par Niou et les autres ! Ou alors tu comptais me le cacher et partir comme un voleur à la fin de l’année en laissant un petit mot débile du genre « bon courage pour la troisième année » ! As-tu donc si peu d’estime pour moi pour ne m’en parler qu’en dernier ? Quand tout est décidé ? » Eclata Kirihara en empoignant son senpai au col.

« Mais enfin, Akaya, de quoi tu parles ? »

« De quoi je parle ? Mais de ton amour soudain pour la vie sauvage voyons ! De ta formidable nouvelle vie à la montagne ! En clair, tous ces projets dont tu m’as jamais rien dit et dont tu veux venir me parler la bouche en cœur, en m’annonçant que tu vas aller vivre à mille lieues d’ici ! Tu crois que ça me plaît d’apprendre ça comme ça ? Alors que je pensais que t’avais suffisamment confiance en moi pour me le dire ! Peut être pas en premier, mais au moins me le dire…» Acheva Kirihara, la voix faiblissant.

Et il arriva ce qu’Akaya n’avait aucunement prévu. Bunta se mit à rire, tout doucement d’abord, puis aux éclats, se tenant presque le ventre tant il s’esclaffait. Kirihara se sentit encore plus mal, de voir ainsi son aîné se moquer de lui.

« Akaya-kun » Parvint à articuler Bunta. « Raconte moi tout ce que tu sais. »

« Et bien » Commença t il, l’air renfrogné, « Niou m’a expliqué que vous aviez demandé le lycée ‘art de la vie en montagne’ où quelque chose dans le genre, à Hokkaido, et que c’est pour cette raison que tu étais absent mardi, tu en passais l’entretien… Voilà. »

Marui avait appuyé son menton contre son poing, écoutant son kohai avec attention. Une fois son discours fini, il l’attrapa par la main.

« Viens avec moi. »

Ils traversèrent les courts de tennis, pour arriver devant un bâtiment blanc, très similaire à leur collège. Marui sortit alors une feuille de sa poche et la tendit à son interlocuteur.

« Regarde. C’est ici que je vais l’année prochaine. » Fit il avec douceur, en désignant le lycée (car c’en était un) devant eux. « Et ça, c’est le papier d’admission que j’ai reçu pour faire ma rentrée ici. »

Les yeux de Kirihara allèrent de la feuille au lycée, du lycée à la feuille. Les noms et l’adresse correspondaient, pas de problème.

« Alors, tu… tu ne pars pas ? »

« C’est ce que j’ai essayé de te dire toute la semaine. J’ai été accepté et je voulais que tu soies le premier à savoir. Si je ne t’en ai pas parlé avant, c’est parce que j’avais peur d’être refusé et de devoir aller dans un lycée beaucoup plus éloigné. » Expliqua Bunta avec douceur, comme s’il s’excusait.

Kirihara ne répondit rien. Il se mordait la lèvre pour l’empêcher de trembler, et évitait de regarder son senpai. Marui fit claquer son chewing gum.

« Je suis désolé pour Niou. Je ne pensais pas qu’il te ferait marcher comme ça, à cause de lui tu t’es torturé l’esprit et tu as du passer une mauvaise semaine. Je comprends que tu puisses m’en vouloir. »

Akaya garda le silence, les pensées se bousculant dans sa tête. Il était à la fois soulagé, heureux, et confus d’avoir été si désagréable avec Bunta, alors que ce dernier avait tout fait pour demeurer près de Rikkaidai. Pour qu’il continue à le voir chaque jour.

Marui se passa nerveusement une main dans les cheveux et soupira pour lui même :

« Cet imbécile de Niou a été trop loin. Attends que je remette la main dessus, il va comprendre sa douleur, et il va entendre parler du pays…»

Il jeta un regard d’appréhension à Kirihara, et constatant qu’il ne réagissait toujours pas, décida de retourner vers sa classe pour mettre ses menaces à l’encontre de Niou à exécution.

« Marui-senpai, je suis désolé ! »

Marui sentit alors deux bras enserrer ses épaules d’un geste tendre et vif, et Akaya se coller contre son dos, nichant son visage dans le creux de son cou. Bunta sourit, se retourna alors vers son kohai et, encadrant son visage de ses mains, l’embrassa, comme si ce baiser devait être le dernier. Kirihara le rendit avec ardeur, enfin rassuré par ce contact.
Au bout de quelques instants, ils reprirent leur souffle et Marui se lova contre Akaya, sentant la tension qui avait été le lot quotidien des derniers jours s’envoler.
Kirihara passa la main dans les cheveux flamboyants de Bunta et lança :

« … Vas donc le voir. Mais n’oublie pas de lui en mettre une de ma part. »

Bunta soupira de contentement.

« Message reçu. »

Niou...COURS!!! xD
Ah du BuntaXAkaya =3 j'aime ^o^ En plus ta fic est sympa xD

vraiment sympa cette petite fic ^^

Merci à toutes^^
C'ets marrant, Nou a traumatisé tout le monde XD
Oh, il voulait juste se moquer un peu ^^ Faut bien s'occuper ^^

Je posterai bientôt d'autres drabbles ^^

Merci tout le monde !

En attendant d'autres fics, voici comme promis un dessin de Jiroh un peu olé olé !
J'espère que ça va vous plaire !
Miu ma douce c'est pour toi ^^

Et personne ne touche, c'est mon mien !

Miundel a écrit:

Et personne ne touche, c'est mon mien !

*contente*

Remerciez toutes Miundel, c'est grâce à elle si je l'ai peint !
Merci Miundel ! *câlin* Tu m'as bien encouragée !
Ca me motive à continuer à peindre !

joli ! la couleur rend bien en tout cas.

*ç* J'aime bien comment il est peint >o< Le dessin est bien aussi =3
Et le Mizuki?...tu vas le mettre ou pas? Parce que je l'aime bien >_<

Quel regard Jiroh! XD
Il est super! ^_^

Ravie que cela vous plaise et merci des compliments !!
Je suis touchée ^^

Shigu: Alors Mizuki arrive ce soir, en avant première pour Miu (normal c'est le sien ^^) et ensuite ici sur le forum, et puis sur mon DA

Kitties: ça peut se faire, j'avais pour projet de dessiner Oshitari olé olé pour une amie chère, alors si je m'en sors il attérira ici aussi ^^