Enfin la fin de l'histoire XD Désolée du retard XD
Moi: MINNAAAAAA ! Isashiburi daaaaaaaaaaaaaaaa !
Momoshiro: Tu sais, si tu utilises des termes en japonais, personne ne va comprendre ce que tu racontes ! Personne ne va comprendre !
Ryoma: En plus on le sait que ça faisait longtemps, ça fait presque deux mois que tu n'as rien écrit. Tu parles d'une entracte...
Moi: Maaaaais, je manquais d'inspiration !
Ryoma: ... C'est pas toi qui te vantais d'avoir déjà planifié tous les détails ?
Moi: [À voix basse] ... Je te hais, nabot... [À voix haute] M'enfin, je vous remercie pour les reviews, c'est vraiment gentil de me lire !
Inui: Un conseil... Si tu veux que les gens continuent à te lire, évite de passer de la musique de salon pendant l'entracte, parce que ça a tendance à faire fuir...
Moi: ... De la musique de salon ? [Coupe la radio avec le CD de Honey Vanity] C'est pas sympa, Kozi ne chante pas de la musique de salon !
Ryoma: [A baissé sa caquette sur son visage pour faire une sieste] Plus ringard, tu meurs...
Moi: Bon ok, j'avoue que c'est pas super, mais... HEY ! [Secoue Ryoma] On ne dort pas pendant le spectacle ! Surtout que tu apparais bientôt !
Ryoma: [Ronchonne]
Moi: Bon bref... J'en étais où ?
Inui: [Feuillette son cahier] ... avant de préparer un plan machiavélique... bla bla bla...
Moi: Ah oui, merci ! Donc, passons à Blanche-Neige. Fuji courait dans les bois depuis quelques temps déjà, lorsqu'elle tomba sur une petite maisonnette, en plein milieu de la forêt.
Fuji: [Grand sourire habituel] Tiens, une maison ! Je me demande quels perdus peuvent vivre dans un trou perdu pareil...
Moi: Tu es particulièrement sympathique aujourd'hui toi...
Fuji: Ah ? C'est possible, j'ai lu quelques lignes plus haut qui ne m'ont pas vraiment plu... J'aurais bien quitté ta pièce immédiatement mais le contrat m'oblige à y rester... Alors je me force à sourire, mais j'ai bien l'impression que ma mauvaise humeur a filtré jusque dans mes paroles ! [Sourit]
Moi: [Se reçoit le sourire éclatant] Ouch ! Désolée, ça ne se reproduira plus... Bref, elle se rendit compte que les gens qui habitaient cette maison étaient des joueurs de tennis, un nombre impressionnant de raquettes en jonchaient le sol. Ces raquettes n'avaient pas de cordage, et Fuji, aimant particulièrement le tennis, ne put supporter cette vision et répara toutes les raquettes abîmées.
Fuji: Ce n'est pas si désagréable à faire, mais je suis curieux de savoir ce qu'elle nous prépare avec une telle modification du conte...
Moi: Greuh, garde tes réflexions, tu es sur scène... [Reprends] Fatigué de son dur labeur, il se coucha...
Fuji: Excuse-moi de t'interrompre, mais est-ce que tu pourrais définir une seule personne quand tu parles de moi ? C'est assez fatiguant de devoir répondre en alternance à il ou elle...
Moi: Ouais, mais je ne sais pas si je dois utiliser il en parlant de toi, ou elle pour parler de Blanche-Neige...
Fuji: Tu me fais déjà jouer une fille, essaie de te rattraper en disant "il"...
Moi: ... Pas faux ! Oui donc, fatigué de son dur labeur, il se coucha dans l'un des lits se trouvant dans la chambre...
Ryoma: Noooon, sans blague...
Moi: [Kick Ryoma] ... car heureusement pour lui, les habitants de cette maison ne sont pas des nains dans cette version. Quelques heures plus tard, les habitants en question revinrent de leur journée de travail.
Inui: Bon, si nous continuons à ce rythme, nous aurons assez d'argent... Quelqu'un est entré chez nous.
Kaidoh: Fushuu...
Kikumaru: Nya ! Comment tu sais ça ?
Inui: Facile... Il y a des traces de pas ne nous appartenant pas devant la maison, et la porte est ouverte.
Kikumaru: ... Dit comme ça...
Oishi: Quoi qu'il en soit, que personne n'entre, ça pourrait être dangereux !
Moi: N'oublie pas que tu es Timide...
Oishi: Il n'y a pas de raison que je sois timide devant ma ... "famille"... Mais écoutez-moi, n'entrez pas ! Compris vous deux ?
Momoshiro et Ryoma: [Stoppent] Flûte...
Inui: Je passe le premier, j'ai 60% de chances de plus que vous de résister à une attaque quelconque. Suivez-moi...
Les autres: [Hochent la tête et suivent]
Ryoma: Tant pis pour le mystérieux visiteur, je verrai demain... [S'installe devant la maison pour faire une sieste]
Inui: Surtout, faites le moins de bruit possible, il se peut que l'intrus soit encore dans la maison...
Kikumaru: Regardez, nos raquettes sont réparées, nya !
Oishi: Eiji, chut ! Mais c'est vrai, toutes nos raquettes ont été réparées...
Kawamura: Je me demande qui a fait ça, il faut lui en être reconnaissant... [Prends une raquette] BURNING ! C'est du bon travail, GREAT-O !
Momoshiro: [Attrape Kawamura]
Inui: [Lui arrache la raquette] Pas-De-Bruit...
Kawamura: [Baisse la tête] Pardon...
Kaidoh: [À Momoshiro] Bon réflexe, crétin...
Momoshiro: La ferme, vipère !
Kaidoh: Fushuu... [Surprend le regard d'Inui et n'insiste pas] ... Mais pourquoi quelqu'un se serait introduit chez nous pour réparer nos raquettes ?
Inui: C'est ce qu'il faut découvrir... Toutes les pièces sont vides, sauf la chambre... [Ouvre la porte]
Tous: [Découvrent Fuji qui dort paisiblement] ... Une fille ? O_O
Fuji: [Se réveille] Oh, bonjour ! [Sourit]
Moi: ... T'as pas légèrement l'impression d'être un intrus et que tu devrais t'excuser de gratter chez eux sans leur permission ?
Fuji: Non, pourquoi ?
Moi: ... [Soupire]
Inui: Que fais-tu ici ?
Moi: Elle... euh, pardon. Il décida de révéler malgré tout ses riches origines, car même si sa belle-mère était certainement à sa recherche, avoir des alliés ne serait pas de trop. Il leur raconta donc son histoire.
Fuji: Et donc après avoir terminé de tout réparer, je suis allé me coucher. Et vous, vous êtes?
Inui: Prof.
Oishi: T... Timide... [Se cache derrière Kikumaru]
Kimumaru: Joyeux, nya !
Kaidoh: Fushuu... Grincheux...
Momoshiro: Moi c'est Simplet ! Simplet !
Kawamura: [Légèrement honteux] Atchoum...
Inui: Et Dormeur doit faire un somme quelque part dehors, il n'est pas entré avec nous.
Fuji: ... Je répète ma question. Vous êtes ?
Inui: [Remonte ses lunettes et feuillette son carnet] Nous sommes des joueurs de tennis professionnels, l'équipe de Seigaku. Malheureusement, au fur et à mesure des années, nos raquettes s'abîment, et aucun d'entre nous ne sait comment les réparer. Nous avons dû arrêter les match temporairement et aller chercher un autre travail, afin de réparer les raquettes, ou d'en acheter de nouvelles. Mais tu nous a épargné deux semaines de travail, merci.
Fuji: Et bien, ton adaptation n'est pas trop mal...
Moi: [Fière] Merci !
Fuji: [À Inui et à moi] De rien. Des joueurs de tennis professionnels, rien que ça ? Je suis plutôt bien tombé, j'apprécie beaucoup le tennis...
Inui: En effet ça tombe bien. Tu pourrais participer à nos matchs de classement. J'ignore quel est ton niveau, mais je pense que c'est une bonne idée, même si tu est une fille...
Fuji: [Greuh] J'accepte.
Moi: C'est ainsi que des matchs au sein de l'équipe furent organisés. Fuji se plaça en tête du classement sans le moindre effort. Bah oui, en l'absence de Tezuka...
Inui: Je vois, il y avait 98% de chances que ça se passe comme ça, je vais donc rester comme coach.
Moi: Tu as compris mes intentions !
Ryoma: C'était pas bien difficile.
Moi: Retourne dormir, tu es bien moins chiant pas réveillé.
Ryoma: [Abaisse sa casquette] Mada mada dane...
Moi: [Kick Ryoma] Ça fait du bien de le martyriser...
Fuji: [N'a pas perdu le fil de l'histoire] Non, je resterai comme coach. Déjà, je suis... [Légère grimace] une fille, et de plus je viens d'arriver, je ne vais pas prendre la place des autres.
Moi: L'équipe resta donc ainsi, et ils gagnèrent de nombreux matchs à la suite. Mais retournons du côté de notre... [Grimace affreuse] cher Atobe.
Atobe: Il me semblait qu'on avait conclu un marché...
Moi: Oh ça va ! J'ai le droit de déborder un peu de temps en temps !
Atobe: Traiter Ore-sama comme ça... [À voix basse] Mais j'ai bien le droit de déborder moi aussi... [Sourit]
Moi: Ce sourire ne me dit rien de bon... Quoi qu'il en soit, après quelques passages assez mouvementés...
Sanada et Atobe: [Se sourient]
Moi: Arrêtez ça, bande de pervers ! Donc, la belle-mère reprit ses esprits. Elle...
Atobe: Ah oui, tant qu'à y être, utilise "il" pour moi aussi...
Moi: ... Le mot magique ?
Atobe: [Soupir désespéré] S'il te plaît... HEY ! C'est du favoritisme, Fuji n'a pas dû s'abaisser à ça !
Moi: Fuji au moins il s'exprime poliment, il ne me traite pas comme la bonniche de service en me donnant des ordres !
Atobe: [Greuh]
Moi: [Continue] Il demanda à son miroir où se trouvait actuellement Blanche-Neige.
Shinji: [Toujours très vexé] Forêt. Maison. Joueurs. Tennis. Seigaku.
Moi: C'est bon, ton rôle est terminé...
Shinji: [Sors dignement et va rejoindre Kamio en coulisses]
Inui: Kamio ?
Moi: Ouais, je l'ai engagé à la dernière minute, il viendra plus tard. La belle-mère décida alors d'aller définitivement pourrir la vie de la rivale de sa fille et convoqua donc son alchimiste.
Atobe: Oshitari, fabrique moi un truc pour me rendre méconnaissable, histoire que je puisse aller le tuer incognito...
Oshitari: Pas de problème. [Sourire entendu]
Moi: [Lui rend son sourire]
Atobe: [Pas crédule] Attends un peu. [Arrache le croquis de ce qu'il deviendra après avoir bu la potion] C'est quoi cette horreur ?! Mes cheveux !
Moi: ... Pfff, t'es même pas drôle... Il s'agit de toi après avoir perdu contre le nabot à casquette. Mais je suis d'accord, c'est vraiment une horreur. Disons que si je te classe à 96 en beauté...
Atobe: [Sourire] Ah oui, c'est vrai que dit comme ça tu me déteste...
Moi: [Rouge] La ferme. Au moins j'avoue que t'es pas le plus moche des personnages, faut être réaliste. Bref, si actuellement tu es à 96, après cette coupe de cheveux tu descends à 32, et encore je suis généreuse...
Atobe: Bien. Trouve autre chose, c'est hors de question que je ressemble à ça.
Moi: Hey, on avait un marché !
Atobe: J'ai bien le droit de déborder un peu...
Moi: [Prise à son propre piège] Greuh.
Oshitari: [Soupire] Je conclus donc que tu vas te passer de mes services...
Atobe: Non, pas totalement. Prépare moi un poison très efficace pendant que je discute avec Shishido et Ohtori.
Moi: Quelques heures plus tard, la belle-mère partit en direction de la forêt, portant un gros panier et enveloppée dans un châle. Si j'étais Fuji, je te reconnaîtrais tout de suite...
Atobe: Pas de commentaires, veux-tu ?
Moi: Il arriva assez rapidement à la maisonnette, et trouva Fuji devant la fenêtre. En effet, il y avait un match aujourd'hui, et les coachs n'étaient pas conviés, il devait donc rester à la maison.
Atobe: Ne jamais sous-estimer mes services de renseignements... [S'approche de Fuji et déguise sa voix] Bonjour jeune demoiselle !
Fuji: Bonjour !
Moi: O_O Tu ne l'as pas reconnu ?
Fuji: Évidemment que si, mais je ne suis pas assez méchant pour gâcher tout ton conte.
Moi: Ah, quelqu'un de prévenant et gentil !
Fuji: Non, c'est juste que Yuta ne serait pas content si je fichais tout en l'air... [Sourire]
Moi: ... Je vois...
Atobe: [Continue] Je vends des cactus, désirez-vous m'en acheter un ?
Moi: Ignorant que les épines du cactus étaient mortellement empoisonnées, Fuji ne se méfia pas et acheta la plante en pot. Mais c'était sans compter que la jeune fille était très agile et était habituée à manier les cactus, elle ne se piqua donc pas.
Atobe: Raaah... Mais j'ai plus d'un tour dans mon sac, enfin, panier... [Sors un plateau de sushis] J'offre aussi des sushis au wasabi, en voulez-vous ?
Fuji: [Méfiant] Qui me dit qu'ils sont bons ?
Atobe: Regarde [En mange un et s'étouffe copieusement] Enfin... tu vois quoi...
Moi: Pendant qu'il tentait d'essayer de respirer à nouveau, il lui tendit le plateau. Malheureusement pour notre princesse, seule la moitié était empoisonnée, et c'est dans cette moitié qu'il prit son sushi.
Atobe: [Regarde Fuji mourir par terre] Mouhahaha, j'ai gagné !
Moi: Lorsque les nains...
Seigaku: GREUH !
Moi: Oups ! Lorsque les joueurs de tennis revinrent, ils trouvèrent leur coach mort par terre, et ils pleurèrent longuement. Trouvant la princesse toujours extrêmement belle, ils décidèrent de lui fabriquer un cercueil de cristal, afin que cette beauté ne soit pas perdue. Le prince du début de notre histoire passait par là, par le plus grand des hasards, et fut tellement ému par la jeune fille qu'il décida de la ramener dans son royaume.
Tezuka: [Aux joueurs de Seigaku] Je voudrais vous emprunter la jolie fille là-bas pour mon royaume. [Visage totalement impassible]
Moi: [Désespérée] Tu pourrais faire un effort pour jouer correctement...
Tezuka: Je ne suis pas doué pour le théâtre.
Moi: Enfin, ils comprirent et acceptèrent de lui confier leur coach. Mais sur la route qui les ramenait au château...
Kamio: [En laquais] Vous êtes lents ! Augmentez le rythme !
Akazawa: [En porteur] Oh ça va, ça va...
Sengoku: [En laquais, air songeur] Quand même, c'est vraiment pas de chance de mourir si jeune alors qu'on est si jolie...
Atsushi: [En porteur] Oui... Mais c'est étrange, ça fait quand même trois jours qu'elle est morte et pas de traces de décomposition...
Moi: Ce fut alors que le troisième porteur trébucha.
Kaneda: [Tombe]
Moi: Le cercueil se brisa, et le choc fit sortir de la gorge de Fuji le morceau de sushi empoisonné.
Akazawa: Tu pourrais faire attention ! Avec tous ces morceaux de cristal ça aurait pu nous tuer ! Et l'abîmer elle, donc on n'aurait pas été payés en plus...
Kaneda: ... AKAZAWA, PAUVRE CON ! [Pars en courant]
Akazawa: ... Hein ? O_o
Sengoku: [A remarqué que Fuji est réveillée et vivante] Oh, lucky !
Tezuka: [A entendu tout le bruit et revient sur ces pas] Qu'est-ce qui se passe ici ?
Moi: Lorsqu'il vit que la jeune fille était toujours vivante, si ce n'était pas déjà fait, il en tomba éperdument amoureux. Il rentra en sa compagnie dans son royaume, et même la belle-mère fut conviée aux noces, mais elle ne se montra pas et plus personne n'entendit jamais parler d'elle.
Atobe: Hey, c'est quoi cette fin ?
Moi: Te plains pas ! Si j'avais suivi la version originale du conte, on t'aurais forcé à porter des chaussures en fer chauffé à blanc, et si j,avais suivi la version Walt Disney, tu serais tout simplement mort. Au moins là tu as le choix de faire ce que tu veux...
Atobe: ... Mouais...
Moi: Et le miroir et le laquais, ainsi que l'un des porteurs et le canard de la forêt se marièrent aussi, parce que j'en ai envie.
Inui: Je t'avais dit d'arrêter le casage de couples...
Moi: [Regard mauvais] Et Prof et Grincheux se marièrent aussi.
Kaidoh: [Écarlate]
Inui: [Soupire]
Moi: Quoi qu'il en soit, ils vécurent tous heureux et eurent beaucoup d'enfants, grâce à la magie des contes de fées !
FIN