Bric à Brac de Shigure-chan

Alors, la violence gratuite!!!
Dans une fic, perso, je ne suis pas contre! Je suis sadique dans le fictif bouhaha
Alors, ton style ne me dérange pas!

Perso je suis assez pour les truc réalistes et qui tiennent la route... Désolée d'être rabat-joie et d'avoir mes petites exienges
Ok pour les non port des préservatifs et le non port de casques... On s'en fout c'est un détail...
Mais la violence gratuite non... Un viol non plus... pas comme ça ! Je suis désolée, même si ce n'est que fictif ce sont quand même des faits assez graves ! On ne s'en remets pas comme ça ! Juste en claquant des doigts !

Ca c'est sur! Que le coté je me fais violer et je m'en remets vite" me fait un peu tilté, mais bon, ce n'est qu'une fic (avis toujours personnel)...

bon...euh de un : Désolé pour avoir autant tardé pour finir d'écrire le chap et le poster u_u mais j'ai eu 2 semaines chargés
De deux : Désolé pour a violence gratuite et le viol mais je voulais faire un fic un peu psychologique u_u donc encore désolé
de trois: chap écrit sans être influencé par vos commentaires xD (ou peut-être un peu u_u) Mes idées sont écrites sur une feuille de mon bloc-note et je ne fais que les exploiter...donc j'essaye de ne pas être influencé par les commentaires u_u (euh...pas clair tout ça )


Chapitre 17

Quand Sengoku ouvrit les yeux, la première chose qu’il vit, ce fut le visage endormit d’Atobe contre lui. Il sourit, l’embrassa sur le front et tenta de se lever mais la main d’Atobe tenait fermement le bas de son tee-shirt. Ne voulant pas le réveiller, Sengoku se réinstalla et passa sa main dans les cheveux du châtain. Il les caressa un moment tout en le regardant et se rendit compte qu’Atobe s’agitait dans son sommeil. Des larmes coulèrent de ses yeux clos, encore une fois.
-Non…lâchez-moi…Je ne veux pas…Sengoku…
Le roux serra contre lui le corps endormi du châtain et se mordit fortement la lèvre. Il allait le faire payer à ce voyou ce qu’il avait fait à Atobe. Le tout était de trouver comment. Le mieux était de régler ça lui-même mais…Quoiqu’il en soit…Il enleva doucement la main du châtain de son tee-shirt sans le réveiller et se leva. Il faisait encore nuit dehors mais qu’importe.


Les vacances…enfin ! Sengoku allait pouvoir en finir complètement avec tout ses problèmes.

Il était partit, il y a quatre jours de chez Atobe…l’homme qu’il aimait mais qui par sa faute, avait été violé. Il ne pouvait pardonner ce voyou ! Après avoir quitté la maison d’Atobe, il était rentré à pied jusqu'à chez lui…cela avait été assez long car il avait toujours mal à ses blessures. En rentrant, sa mère s’était jeté à son cou, lui demandant où il était passé…Bien sur, Sengoku s’absentait souvent pendant un moment de chez lui, sa mère était habitué…Mais là cela avait duré plus longtemps. De plus, son fils était revenu…blessé ?
-Qu’est-ce qu’il t’es arrivé Kiyosumi ?
-Maman…J’ai à te parler.
Il avait décidé de parler de tout à ses parents. C’était sûrement la meilleure chose à faire…Après avoir réfléchit à comment se venger, il en était arrivé à choisir la meilleure solution. Mais plusieurs idées lui étaient venu en tête avant... Joindre le voyou et se lancer dans un combat acharnée ? Sengoku en avait marre de se battre…Et puis cela ne résoudrait rien. S’en prendre à quelqu’un auquel il tenait ? Ce serait faire exactement la même chose que lui et de toute façon…Sengoku ne s’en sentait pas capable.
-Qu’est-ce qu’il y a Kiyosumi ? C’est quoi toutes ses blessures ?
Ils s’assirent. Sengoku s’installa sur une chaise en face de sa mère, assise sur le canapé. La femme au cheveux roux(1) regardait son fils d’un air inquiet. Par quoi commencer … ?
-Ce que je vais te raconter va peut-être te choquer…Tu pourras me frapper ou me virer de la maison…Ne pas me croire…M’aider…
Elle posa sa main sur l’épaule de son fils et lui dit qu’elle allait l’écouté…qu’il pouvait parlé. Alors Sengoku décida de commencer par le début.
-Il y a bientôt deux mois…J’ai accidentellement abîmé une stupide veste à un voyou qui par la suite, m’a demandé de le rembourser…Et avec les intérêts.
Sa mère ne l’interrompit à aucun moment du récit. Sengoku parla de la prostitution avec beaucoup de difficulté…Il parla d’Atobe, à quel point il pouvait l’aimé et qu’il avait été violé par sa faute…Du fait qu’Atobe était malade, ne sortait plus de chez lui et avait peur de chaque contact avec qui que se soit…
-Je…
-Kiyosumi…
Sa mère se leva et Sengoku ferma les yeux, s’attendant à une gifle. Mais au lieu de cela, il sentit les bras de sa mère l’enlaçait et lui caressait la tête doucement.
-Pourquoi tu ne nous en as pas parlé tout de suite ?
Des larmes coulèrent des joues du roux. Il avait été soulagé d’en parlé avec Atobe…Mais avec sa mère s’était mieux. Il savait que ses parents allaient l’aidé mais il espérait qu’ils ne leur arriveraient rien.
-Comment…je peux mettre fin à tout ça ?
-Porte plainte…Mais il faudrait des preuves.
-Des preuves…
Est-ce qu’il en avait ? Pour l’infirmier…Les cicatrices des coups de fouet ne marcherait pas…Pour le voyou…
-La caméra !
-Quel caméra ?
-Le…Le voyou quand il a violé Atobe…un de ses sbires filmait avec une caméra !
-Et où est-elle ?
Sengoku qui s’était levé brusquement se laissa tombé sur sa chaise. Elle avait dû rester dans le hangar…Ce n’était même pas la peine d’espérer y retourner…Le voyou avait dû la récupérer. Le roux ne savait plus quoi faire. Il posa sa tête entre ses mains et ferma les yeux.
-Kso !
Voilà ce qu’il s’était passé depuis que Sengoku était rentré chez lui. Depuis, il n’avait pas été voir Atobe, n’était pas sorti et passait son temps à chercher un moyen de récupérer la caméra et son contenu. Quatre jour était passé depuis cette discussion…


Atobe ouvrit lentement les yeux…Il allait mieux et avait recommencé à se nourrir. Il se leva de son lit et se dirigea vers la fenêtre de sa chambre. Le châtain avait mal partout…Il n’était pas sorti de sa chambre depuis qu’il s’était fait…violé. Bouger pour se laver, manger ou marcher jusqu’à la fenêtre de sa chambre avait été les seuls mouvements qu’il avait effectué.
-Sengoku…
Il ne l’avait pas revu depuis une moment…Combien de temps depuis qu’il était parti pendant qu’il dormait ? Quelques jours ? Une semaine ? Il avait perdu le cours du temps. De plus…il avait l’impression de ne pas avoir joué au tennis depuis des années et cela le manquait. Il alla se laver puis s’habilla avant de descendre sur ses terrains privés avec l’une de ses raquettes. Rien que d’être sur un court lui remontait le moral et il commença donc à tapé quelques balles contre le mur d’entraînement après quelques échauffements. Seulement, après un quart d’heure, il s’arrêta. Il avait réellement envie de joué au tennis mais actuellement, c’était Sengoku qui occupé son esprit. Il prit son portable et composa le numéro du roux.
-…
-Yo ! C’est Sengoku Kiyosumi !! Je suis pas là donc laissez un message ou votre numéro !(2)
-Euh…Sengoku…C’est Atobe. Je...rappelle moi s’il te plait.
Il raccrocha et s’adossa contre le mur d’entraînement. Il espérait que Sengoku le rappellerais rapidement.

Fin du chapitre 17

(1)Ne connaissant pas la mère de Sengoku, son caractère est entièrement inventé…tout comme son apparence physique.

(2) Connu mieux comme message xD



Bref...j'ai fait mieux comme chapitres :/

Encore prem's ^^
(c'est normal vu l'heure)

Je vois que tu as tenu compte du coté détruit du pauvre Atobe! C'est mieux lol

Enfin un ado responsable, il en parle à des adultes!

ça va venir xD J'ai déja noté plein d'idée pour la suite dans mon bloc note...mais faut que j'écrive et j'ai pas eu le temps ces deux dernières semaines...Je dois me rattraper O_O

sinan des vieux gribouillis fait sur mes cours de français...j'était dans ma période chibis xD :



j'ai foiré tout ceux de profil xD

mon preferer en chibi c'est l'equipe yamabuki j'adore le minami XD

ils sont tous trop mimi. Et Sanada a l'air gentil (c'est étrange..)

Ils sont trop chous les chibis!! XD

Chap suivant! Raah...Je suis plus dans le rythme! Sa m'énerve è_é d'habitude c'était 2 chapitres par semaines...je suis passé à un par semaine...:'(

Chapitre 18

Sengoku avait tout de même décidé de retourner dans le hangar. Il y avait une chance minime qu’il y retrouve la caméra…Mais qui ne tentais rien...n’avait rien ! C’était donc vers le hangar qu’il se dirigeait…D’après ce qu’il souvenait ça devait être par là…Non pas par là…Zut. Il était inconscient quand on l’y avait emmené. Il ne se souvenait que du trajet du hangar jusqu’à chez Atobe…Comment il allait d’ailleurs ? Sengoku avait peur de le voir…Il craignait de se faire rejeter…Il regarda son portable. Un appel, d’Atobe…Il l’écouterait plus tard. Pour l’instant il devait retrouver cet hangar à la c** ! Autant partir d’un endroit qu’il reconnaissait. Il marcha donc en direction de chez Atobe mais ne comptait pas encore allez le voir…Sans doute était-ce encore trop tôt. Il n’eut pas à aller jusqu'à chez le châtain. Ces maisons…cette route…Pas de doute. Il avait emprunté ce chemin avec Akutsu. Le roux regarda au alentour…Il lui semblait qu’il était venu de par là-bas…Il marcha donc en direction du nord et au fur à mesure, le nombre de maison diminué, des bâtiments désaffecté apparaissaient et enfin, il arriva devant le hangar. Il fit coulissé la porte en taule et entra à l’intérieur du bâtiments. Aucun doute…C’était bien ici. Il ne pouvait oublier cet endroit et ce qu’il s’y était passé. Sengoku avança jusqu’au pilier où il avait été attaché. Sur le sol, il y avait du sang séchée…le sien qui avait coulé lorsqu’il avait tenté d’en lever ses mains des liens qui le retenait. Le roux regarda ses poignées. Il allait avoir quelques cicatrices mais qu’importe, son corps entier en avait et il ne les comptait plus. Le roux s’avança alors là où avait été violé Atobe, il baissa la tête et se laissa tomber à genoux.
-KSO !!!!!!!!
Il frappa un coup de poing contre le sol, se releva et regarda rapidement sur le sol si il voyait la caméra. Il n’y avait rien, comme il s’y attendait. C’était évident que les voyous aient récupéré cette vidéo…Sengoku regarda tout de même autour de chaque piliers pour voir si par hasard, elle n’avait pas glissé derrière l’un deux mais il ne trouva qu’un portable… ? Il le ramassa et l’examina rapidement en allant directement dans le répertoire. Un numéro avec marqué « Boss » lui indiqua que c’était le portable d’un des voyous. Sengoku voulut le balancer au loin mais se retint. Il pourrait lui servir ce portable…Il le rangea dans sa poche et sortit du bâtiment. L’air y devenait insupportable. Le roux reprit alors le chemin inverse et retourna chez lui.

Atobe raccrocha une fois de plus. Sengoku ne répondait toujours pas…Pourquoi ? Il s’allongea sur son lit, la tête dans l’oreiller. Il espérait que le roux allait bien et qu’il ne faisait rien d’inconsidéré…

Il alla directement dans la cuisine en rentrant, voir sa mère qui préparait le repas. Sengoku s’adossa alors contre le mur près du frigo et sortit le portable de sa poche.
-Tu l’as…Retrouvé ?
-Non…
Sa mère lâcha ses ustensiles de cuisine et s’approcha doucement de son fils, posant une main consolante sur son épaule. Elle vit alors le portable.
-Ce n’est pas celui que ton père t’a acheté…
-Je l’ai trouvé là-bas…Il appartient à l’un des voyous.
Sa mère retourna devant le plan de travail et continua à cuisiner.
-J’ai bien une idée mais…
-Laquelle ?
-Je ne sais pas si elle marchera…
-Dit toujours Kiyosumi.
-N…Non…Je préfère régler ça par moi même. Tu m’as déjà suffisamment aidé maman.
Le roux sortit de la cuisine et alla directement dans sa chambre. Oui. Il devait régler cette histoire seul…ou peut-être avec l’aide d’une personne…

Cette fois, le portable vola dans la chambre. Bon sang…Mais pourquoi ne répondait-il pas ?! Atobe faisait les cents pas dans sa chambre, alla reprendre son portable et tenta une nouvelle fois d’appeler Sengoku. Il tomba encore sur le répondeur dont il connaissait le message par cœur.
-Ore-sama déteste qu’on ne lui réponde pas !
C’était décidé, il allait rendre visite à Sengoku. Il rangea son portable dans son pantalon et sortit de sa chambre, tombant nez à nez avec quelques soubrettes.
-Que faites vous devant la chambre d’Ore-sama ?
-Nous…Venions voir pourquoi il y avait du bruit…
-Du bruit ? Ah…mon portable…
Le pauvre d’ailleurs…Il allait devoir le changer maintenant qu’il était tout cabossé de partout. Ecran fissuré, touches ne tenant que légèrement…Il regarda l’une des soubrettes et lui ordonna :
-Aller faire préparer une voiture !
-Bien Atobe-sama.
Le châtain tendit ensuite son portable à une autre soubrette.
-Changez moi ce portable…Mais arrangez-vous pour qu’Ore-sama garde son numéro !
-Bien Atobe-sama.
Toutes les soubrettes repartirent et Atobe retourna dans sa chambre. Il se changea rapidement, troquant son tee-shirt noir pour une chemise blanche et son pantalon blanc pour un pantalon noir(1)

Cette idée lui paraissait la mieux…Même si il doutait de ses capacités pour le coup. Sengoku se leva de sur son lit, attrapa son portable et celui du voyou, sortit de sa chambre et alla à l’entrée. Sa mère arriva alors pendant qu’il mettait ses chaussures.
-Où tu vas ? Il se fait tard…
-Une petite affaire à régler…Ne t’inquiète pas, il ne va rien m’arriver.
Il ne laissa pas le temps à sa mère pour lui répondre et sortit aussitôt. Il avait besoin de se dégourdir les jambes et il pour mettre son plan à exécution, il était plus simple d’être dehors…Chez lui, il risquait de se faire trahir accidentellement. Il fallait maintenant qu’il trouve un endroit calme où il ne risquerait pas d’être dérangé. Le roux marcha une bonne dizaine de minutes avant de se retrouver devant son collège, Yamabuki. Il sauta la barrière et se dirigea vers le bâtiment.
-Ici se sera bien…
Il décida de monter sur le toit du bâtiment. Bien évidemment, la porte du hall d’entrée était ouverte. Il arriva donc sur le toit rapidement sans avoir à escalader les murs…

La voiture s’arrêta devant la maison de Sengoku mais Atobe ne sortit pas…Du moins pas immédiatement. Il n’avait absolument réfléchi à ce qu’il allait pouvoir lui dire…La dernière fois qu’il s’était vu, Atobe l’avait frappé et mordu…Sengoku avait voulu passer à l’acte mais il n’avait pas pu. Le châtain n’avait pas pu se laisser faire. Des séquelles. Elles allaient sûrement restés pendant un moment mais passeront avec le temps. Atobe l’espérait. Il se secoua vivement la tête et sortit de la voiture sans l’aide du chauffeur. Il lui demanda néanmoins d’attendre un peu avant de repartir…Le châtain se dirigea jusqu’à la porte d’entrée, hésitant à sonner. Il prit son courage à de mains et appuya sur la sonnette. Il entendit alors quelqu’un arrivait en courant de l’autre côté et son cœur fit un bond. Et si c’était Sengoku ? Mais non. La porte s’ouvrit sur une femme au cheveux roux mi-long.
-Bonsoir. Que voulez-vous ?
-Euh…Bonsoir. Est-ce que Sengoku est là ?
-Kiyosumi ?
-…Oui.
-Désolé jeune homme. Il est partit depuis une demi heure…
Atobe baissa la tête, salua la mère de Sengoku et commença à faire demi-tour lorsqu’il fut rattrapé par la rousse.
-Atobe-kun ?
-Oui ?
-Alors c’est bien toi...Tu veux pas rentrer et attendre ici? Kiyosumi ne devrait pas rentré dans longtemps…
Le châtain hésita un peu mais accepta finalement. Il alla dire à son chauffeur de repartir et suivit la femme dans la maison.

Sengoku inspira, expira…et appuya sur la touche d’appel. Il porta le portable à son oreille et attendit. Il entendit rapidement la voix de celui qu’il détestait plus que tout au monde.
-B…Boss ?
-Pourquoi tu m’appelles ?
-Je…voulais savoir si je vous pouviez me prêter la vidéo du viol de l’autre jour.

Fin du chapitre 18


(1)quel originalité dans les vêtements =_=

Hum, hum...
Sengoku prend les devants, et Atobe est en tête à tête avec belle-maman ^^

Naaan, pas d'arrêt °0° ! xD Je suis coupée tout d'un coup, je n'aime pas ça ! Nif !
Est - ce qu'il va avoir cette foutue cassette ? è___é * curieuse *.
Est - ce qu'Atobe va réussir à trouver un bon sujet de conversation avec Sengoku ( ou même sa mère ... ) Bon courage à lui u__u".
....

Chapitre 19

-Ahahahah ! Pourquoi tu là veut ?
Aïe ! La question qu’il ne voulait pas qu’il lui pose…Celle dont la réponse allait être le plus difficile à prononcer…Mais il ne devait pas se trahir. Sengoku enfonça ses doigts sur sa cuisse à travers son pantalon.
-Je…La façon dont vous avez fouetté les deux garçons…et le viol de l’autre châtain là…J’aimerais vraiment les revoir !
-Ca t’a excité ?
-Vous pouvez pas imaginer à quel point…Je n’arrête pas d’y repenser depuis la dernière fois…
-…
Le voyou sourit et prit la casette dans sa main gauche. Quelque part, il se doutait que ce n’était pas l’un de ses sbires…et l’idée que ce soit Sengoku lui plaisait assez.
-Quel a été ta partie préféré ?
-Quand…
Les mots ne voulait pas sortir…Sengoku ne voulait pas les prononcer. Nana c’était vraiment une idée stupide…il devait arrêté ! Il le voulait…mais l’image d’Atobe lui revint en tête. Non. Il devait en finir et qu’importe si c’était dur. Rien. Ce n’était rien à côté de ce qu’avait subi Atobe.
-Quand le châtain s’est évanoui, que vous lui avez fait des entailles sur le corps et que vous l’avez pénétré encore…c’était vraiment…
Pour la crédibilité, Sengoku avait dit ça de la façon la plus perverse qu’il pouvait, haletant légèrement et il entendit le voyou rire. Le roux espérait qu’il le croyait et qu’il ne lui demanderait rien d’autre…
-Intéressant…Demain devant le hangar. Je t’envoie un message pour l’heure.
Il raccrocha, ne laissant pas Sengoku répondre. Il se demandait pourquoi…il avait dit « intéressant » ?

Le voyou se leva et alla voir son père dans son bureau. Ce dernier était en train de regarder la copie du viol d’Atobe sur son ordinateur tout en caressant le manche de son fouet. Quand il entendit son fils arrivait, il se tourna vers lui.
-Je crois bien que Sengoku vient de m’appeler.
-Vraiment ?
-Il se faisait passé pour l’un de membres de mon gang.
-Et il voulait quoi ?
-La casette…Mais je ne vois pas pourquoi (1)…a moins qu’au final le viol de son copain l’ait vraiment excité.
Ils rirent et le voyou retourna dans sa chambre.

La rousse fit s’asseoir Atobe en face d’elle et le détailla. Son fils était tombé amoureux d’un bien beau garçon. Que son fils soit gay…cela ne la dérangeait pas tant que ça. De toute façon quoiqu’elle aurait dit ou fait n’aurait rien changé et elle ne comptait pas s’opposer à lui. Il était amoureux…elle était contente pour lui.
-Bien…Atobe-kun…
-O...oui?
Rencontre avec sa future belle-mère ? A cette pensée, Atobe ne put s’empêcher de sourire. Il n’en était pas là et de toutes façons…Il ne serait peut-être pas avec Sengoku pour toujours. Ils étaient jeune mais pour l’instant il ne voulait pas y penser. Ils avaient le temps et leur histoire n’avait pas encore réellement commencé.
-Que ressens-tu pour Kiyosumi ?
-Je…
Il rougit fortement et regarda ses mains posaient sur ses genoux. Une posture digne d’Ore-sama d’ailleurs mais ce n’était pas le moment de s’en soucier.
-Je l’aime.
-Je vois…
-Je peux vous poser une question ?
-Oui ?
-Est-ce que…Sengoku ne m’aimes plus ?
Il serra les poings et regarda la rousse dans les yeux, qu’elle avait bleu…comme ceux de son fils.
-Pourquoi cette question ?! Comment ne pourrais-t-il ne plus t’aimer après tout ce qu’il vous est arrivé ?
-Bah justement…
-Il t’aime plus que tout. Je peux même te dire qu’il a peur que tu ne veuilles plus de lui. Il ne veux pas te perdre et s’en veut pour tout ce qui t’es arrivé.
Mais enfin…Il n’avait pas à s’en vouloir !
-Ce…j’aurais dû être plus prudent, me défendre, me…
Il pleurait et la mère de Sengoku se leva pour aller l’enlacer tendrement. Atobe ne la repoussa pas, il était bien trop occupé à pleurer et puis…il éprouva un sentiment de…nostalgie ? Le châtain pense vaguement à sa mère mais son image était flou et disparut rapidement de son esprit.

Sengoku s’allongea sur le toit et regarder le ciel et la nuit tombait de plus en plus. Il décida de rentrer afin de ne pas inquiéter sa mère. Il prit son portable et regarda. Plusieurs appels en absence…Atobe, Atobe, Atobe, Akutsu, Atobe…Akutsu ? Pourquoi avait-il essayé de le joindre? Le roux décida de l’appeler une fois rentrer chez lui. Quand à Atobe…Il allait falloir qu’il aille le voir. Au moins pour s’expliquer, s’excuser une fois de plus peut-être…Sengoku descendit du toit par les escaliers et sortit du collège. Il marcha un moment lentement et commença à avoir la tête qui tournait.
-Aïe…Mal de crâne.
Mais sûrement pas que ça. Le stresse peut-être ? Il avait dû se retenir lorsqu’il avait appelé le voyou. Se retenir de lui hurlait dessus et de le traiter de tout les noms. Il avait dû se mettre dans la peau d’un…pervers. C’était dur mais il l’avait fait. Sengoku s’appuya contre un muret et porta sa main sur son front. Il avait un peu de fièvre…Après tout les coups qu’il s’était prit, il était normal qu’il se sente pas bien…Mais quand même. Sa dernière bagarre remontait à quelques jours à présent. Le roux continua à marcher jusqu’à chez lui. Il était temps qu’il arrive. Son mal de tête avait empiré et il commençait à ne plus pouvoir rester conscient. Dès qu’il serait à l’intérieur, il irait s’allonger n’importe où.

La mère de Sengoku était allé dans la cuisine préparait les derniers éléments du repas de ce soir. Atobe composa le numéro de sa maison sur son portable et attendit.
-Atobe-sama ?
-Ore-sama ne rentre pas manger ce soir. Il reste chez Sengoku Kiyosumi.
-Bien. Vous nous appellerez pour que l’on viennent vous cherchez après ?
-Oui.
Il raccrocha et se leva pour rejoindre la rousse dans la cuisine. Il pouvait au moins aider un peu…même si ce n’était absolument pas dans ses habitudes. Seulement, au moment où il entrait dans la cuisine, il entendit la porte d’entrée s’ouvrir.
-Va voir s’il te plait. Ca doit être Kiyosumi…
Le châtain s’exécuta et alla dans le hall d’entrée. Effectivement, il reconnut Sengoku qui s’écroulait au sol ?! Atobe alla immédiatement à ses côtés et retourna le corps du roux vers lui. Pas de blessure apparente…qu’avait-il alors ? Il était en sueur et le châtain appela aussitôt la mère du garçon qui accourut. Elle posa sa main sur le front de son fils. Bouillant.
-Il a de la fièvre…
Atobe ne répondit pas, souleva le roux et fut aidé par la mère de ce dernier. Ils l’emmenèrent jusque sur le canapé où ils l’allongèrent.
-Je te le confie. Je n’ai plus de glace donc je vais chez les voisins (2)
-D’accord…
Elle partie, laissant Atobe assis au côté de Sengoku.

Fin du chapitre 19

(1)euh…Psychopathe et sadique…mais idiot et débile ! je préfère le faire comme ça…sinon l’histoire va jamais avancé si il devine les intentions de Sengoku à chaque fois ^^’

(2)Euh ça…bah on mets pas de la glace ou quelques choses de froid sur le front des gens quand ils sont malades ? Pour baisser la température…Roh et puis zut >_< Je met ce que je veux dans ma fic et toc ! =P





Poupoum...Maintenant...Il faut que je finisse ma fic pour le White Day O_O C'est demain? Argh >_<

Comment faire sortir la mère de scène en un leçon : la quête de l'objet non possédé ! xD
Interessant, interessant, on se demande ce que réserve la souite. Je sens encore les emmerdes avec la cassette mais bon ... xD

Par contre, le problème de la fanficion est les fautes >_<'' En a de plus en plus ... ( désolée u__u'' ). C'est surtout niveau conjugaison de tute façon xD Ce dans quoi les gens se trompent la plupars du temps. ( " Je veuX " par exemple ... )
Désolée pour ça, j'me sentais obligée u.u'''''''''''

Sinon, tu me connais : Suiiiiteuuuh ! xD

Ah, mais Kitties tu as juste de la chance car senpai n'est point là.

enfin si, elle est à côté de moi et elle commence à faire des plans de vengeance. Méfie-toi... surtout que deux scientifiques ensemble c'est effrayant.

Taahoma > Oui je sais les fautes...ça me fait toujours perdre des points dans mes devoirs...Pourtant je n'écrit jamais en sms...sauf si vraiment je veux aller vite et que j'ai pas le temps...Pis la conjugason...c'est surtout le passé composé qui m'embête je crois xD

xD Voui. Bah c'est ce qui pose le plus de problème. Savoir quand c'est l'infinitif ou le participe, savoir quans il faut accorder ...
J'étais une quiche en orthographe jusqu'à ce que je commence à écrire moi =.='''

Bon...Y'a encore des fautes d'othographes...Désolé >_< Chapitre un peu bizarre...enfin je trouve mais bon u_u


Chapitre 20

Atobe posa sa main sur le front de Sengoku. C’était vrai qu’il était brûlant bon sang ! Le châtain passa doucement ses doigts dans les cheveux du roux, déplaçant ou replaçant quelques mèches de cheveux…Comment avait-il pu croire qu’il ne l’aimait plus ? C’était idiot, il s’en rendait bien compte à présent…Peut-être que le fait qu’il ne réponde pas à ses appels l’avait induits en erreurs. C’était probable.
-Sengoku…Comment…
Il posa doucement ses lèvres sur le front du roux qui ouvrit doucement les yeux. Il reconnut rapidement le châtain et ne put s’empêcher d’être étonné.
-Atobe ? Qu’est-ce que tu fais ici ?
Il tenta de se relever mais il avait beaucoup trop mal à la tête. Il resta donc allongé, regardant le capitaine de Hyotei qui était à ses côtés.
-Désolé.
-Pour quoi ?
-De ne pas avoir répondu à tes messages. Je…Je crois que j’avais peur.
-Peur de quoi ? Je t’ai dit que je ne t’en voulais pas…
-Je sais mais…
Atobe posa sa main sur le front de Sengoku, brûlant (1)…Il espérait que la mère du roux reviendrait bientôt avec de la glace…Il n’aimait pas le voir comme ça…souffrir.
-Au fait…Qu’est ce que tu fais ici ?
-Je suis…venu pour te voir. Ta mère m’a dis que tu n’étais pas là mais elle m’a fait rentré quand même…Là, j’allais resté manger chez toi…
-He ?
-Je sais…c’est bizarre.
-Mais non pas du tout…Ca me fait plai…sirs…
Il s’endormit et Atobe se releva. Il se dirigea vers la porte d’entrée et la mère du roux arriva alors, un pack de glace dans la main.
-Je vais partir.
-Tu ne restes pas manger ?
-Non…Il se fait tard et puis…Sengoku s’est endormi.
-Bien…
Atobe appela son chauffeur pour qu’il vienne le cherché, salua la mère du roux et partit.


Sengoku regardait le plafond depuis une dizaine de minutes…Vu la lumière qu’il y avait dans la pièce…c’était le matin. Encore tôt d’ailleurs, vu qu’il n’entendait pas sa mère dans la cuisine. Atobe était-il rentré ? Sûrement. Quelque part, sa l’arrangeait. Il ne voulait pas trop lui dire ce qu’il avait en tête pour régler définitivement ses problèmes. Le roux se décida à se lever de sur le canapé. Il n’avait plus mal à la tête mais il avait faim. Il alla donc dans la cuisine et trouva sur le frigo, un mot accroché :
« Kiyosumi, si tu te réveilles pendant la nuit, je t’ai gardé un peu des plats d’hier soir dans le frigo. Réchauffe les »
Il ouvrit donc le frigo et tomba sur les plats en question. C’était le matin…Ce n’était pas l’heure de manger ce type de plat mais il avait faim alors tout lui convenait.

Atobe s’étira. Il avait passé une bonne partie de la nuit a pensé à Sengoku. Pourquoi d’ailleurs ? Il s’inquiétait un peu mais il savait qu’il ne risquait rien…enfin…normalement. Le châtain se leva et alla dans sa salle de bain se préparait. Aujourd’hui il retournerait voir Sengoku. C’était les vacances après tout…Il comptait donc passé du temps en compagnie du roux. En espérant qu’ils ne leurs arriveraient plus rien.

Le roux prit son portable et composa le numéro d’Akutsu. Celui-ci répondit rapidement, ce qui n’étonna pas le roux.
-Quoi ?
-Salut.
-Qu’est-ce que tu veux ?
-Je suis…désolé de te demander une fois de plus de l’aide mais…J’ai besoin de toi.
-…Je t’écoute.
-Alors voilà…
Ils parlèrent une dizaine de minute puis raccrochèrent simultanément. C’était décidé et à présent…tout allait se jouer dans l’après-midi normalement. Il ne manquait que l’heure du rendez-vous avec le voyou. Cette information ne tarda pas à arrivait. Le portable du sbire que Sengoku avait trouvé sonna dans sa poche et le roux lut le message envoyé.
« Rendez-vous à 14h… »
Cours mais clair. Le roux reprit son portable et envoya un message à Akutsu. Puis il se leva, monta dans sa chambre, prit des affaires et alla dans la salle de bain.

Le grisé sortit de chez lui et se dirigea vers le hangar où il avait récupéré Sengoku et Atobe, la dernière fois. Il regarda son portable et vit que Sengoku lui avait envoyé un message. L’heure était annoncé…Il se demandait si le plan du roux allait fonctionné. Bah, il verra bien. Pour l’instant, il devait étudié le terrain…

L’heure du rendez-vous arriva rapidement. A 13h50, c’est Akutsu qui arriva le premier. Il se « cacha » près du bâtiment du hangar désaffecté. Puis à 13h55, ce fut le voyou qui arriva, un air satisfait sur le visage. Enfin à 14h00, Sengoku arriva. Il marcha lentement vers le voyou qui ne fut pas étonné de voir le roux.
-Je savais que c’était toi.
-Et…Tu m’as fait dire des choses perverses en le sachant ?!
-Ouais.
-T’es vraiment un enfoiré…(2)
-Je sais.
Et en plus ça le faisait rire ?! Vraiment…Il devait lui manquait une case ! Sengoku s’avança encore plus vers le voyou. Il avait envie de le frapper…De lui faire le plus de mal possible mais il fallait qu’il se retienne.
-Donne moi la casette.
-Non. Pourquoi je te la donnerais ?
-…
-Me dis pas que t’as vraiment kiffé quand j’ai violé ton copain ?!
-BIEN SUR QUE NON !
Sengoku se jeta sur le voyou et le plaqua au sol. Il s’apprêta à lui donné un coup de poing quand il vit Akutsu le regardait. Il se rappela alors qu’il valait mieux qu’il s’abstienne…Il se releva donc et le voyou en fit autant.
-Franchement…T’as même plus l’courage de te battre…Tapette !
Ne pas céder…Ne pas le frapper…Ne pas riposter !
-Bah alors ? T’as perdu ta langue ?
-Donne moi la casette !
-J’ai dit non. En plus tu ne m’as pas répondu.
Il commença à faire demi tour. Il avait perdu de l’intérêt pour son « jouet ». Celui-ci ne ripostait même plus…Ce n’était plus marrant. Il avança donc mais fut arrêté par un garçon au cheveux gris en bataille, Akutsu.
-J’te reconnais…T’es celui qu’est venu te bastonné l’autre jour quand j’ai violé l’chatain…
-…Gamin !
Akutsu avança rapidement vers le voyou et lui attrapa le poigné droit. Le voyou était plus petit que lui, il s’en rendait compte maintenant qu’il était face à face. Franchement, c’était minable !
-Lâche-moi !
Akutsu ne répondit pas et plaqua le bras du voyou dans le dos de ce dernier tout en prenant la casette de sa main libre.
-Hé ! T’es pas bien ?!
-Je t’ai connu plus fort et plus imposant que ça…
Sengoku venait d’arriver devant lui et Akutsu lui donna la casette.
-Où sont tes petits copains…Tu fais moins le fier !
-Et toi, je te trouve bien insolent. Alors comme ça il te faut ton garde du corps maintenant ?!
Le voyou voulu donné un coup avec son bras libre mais le grisé l’en empêcha. Il avait à présent les deux bras retenu fermement dans son dos.
-Pitoyable…
C’était vraiment l’impression qu’avait Sengoku en regardant le voyou. Il n’arrivait pas à le reconnaître. Bon sang ! Où étais passé la brute qui le frappait tout le temps ? Qui l’avait envoyé à l’hôpital ? Qui avait violé Atobe ?
-Pff…fais ce que tu veux avec la casette. Tu ne m’amuses plus de toute façon.
Un changement soudain. Il en avait marre de « jouer » avec Sengoku…
-Tu t’fous de moi ?!
Il était énervé. Réellement énervé ! Ainsi, celui qui lui avait fait vivre un calvaire ses derniers mois en avait marre ?! Et il décidait de tout arrêter comme ça, d’un coup après tout ce qui s’était passé ?!
-Enflure…Je…Je vais même pas te frapper, t’en vaut pas la peine !
Akutsu lâcha le voyou et le poussa avec un coup de pied dans le dos. Sengoku passa près du voyou s’en le regardait. De toute façon, bientôt il ne nuirait plus à personne et ce sera fini pour de bon.

Fin du chapitre 20



(1)Euh…Quand j’ai mal à la tête, j’ai le front bouillant et je dors longtemps donc…j’ai mit les mêmes symptômes pour Sengoku u_u

(2)Désolé u_u d’habitude j’utilise pas trop ce genre de mots…A part à l’oral mais c’est pas méchant quand je le dis xD

Note : Je sais que ce chapitre n’est pas très clair…Désolé. Je voulais essayé quelque chose mais ce n’est pas très concluant comme résultat…Je voulais faire en sorte que l’intrigue ou le plan de Sengoku ne soit découvert qu’au moment venu u_u Pour le voyou...PLus ça va et plus il m'énerve xD

J'ai enfin tout lu!
[ je sais j'ai mis du temps! ]
Et j'adore vraiment tes fiic! !
J'en veux plus! ! !^^