Bric à Brac de Shigure-chan

Woooh, peut être un petit break mais toujours centré dans l'histoire avec la remise en question d'Atobe xD. L'a découvert ce qu'il ressentait ! Déjà ça ! xD.

Gakuto sur les lustres, ça m'a un peu surprise XD. Pi Shishido et Ootori s'enfuyant discrètement, l'est bien bonne XD. Imaginons la scène xD.

J'attend la suite, tu me connais. xD J'aimerais bien savoir comment Sengoku va prendre ça xD ( bien j'imagine ).

Nyoup ! next Nextouille ! xD

voila le nouveau chap!!!!
Ecrit en écoutant Peach d'Ai Otsuka et surtout Vega de MidnightPumpkin (opening de Princess Princess D)
Donc...Ca commence à bouger! lol j'ai déjà commençé le chap 12 mais Shigu crevé ^^ Bonne nuit minna ;)

Chapitre 11

Cela faisait quatre jours. Quatre jours que Sengoku n’avait pas vu Atobe ! Il voulait le voir, il s’inquiétait à son sujet vu qu’il était décidé à l’aider…Il avait peur qu’il est fait une bêtise…qu’il lui soit arrivé quelque chose ! Il devait le voir.
La dernière heure de cours se termina rapidement et Sengoku, prit ses affaires et descendit les escaliers rapidement. Une fois dehors il se dirigea vers les cours de tennis. Aujourd’hui, il ne comptait pas y assister et il préférait aller à Hyotei voir Atobe.


Cela devait faire une dizaine de minutes depuis que sa voiture l’avait déposé devant Yamabuki. Atobe s’était dirigé vers les courts de tennis et y avait trouvé Banda, le coach de l’équipe de Yamabuki. Ils avaient discuté rapidement ensemble et Banda avait demandé à Atobe pourquoi il était venu ici.
-J’ai à parler avec Sengoku Kiyosumi…
-Oh…Pourquoi ?
-Ca…ne vous concerne pas.
-Bon bon…Il ne devrait pas tarder. Assis-toi quelque part en attendant.
Atobe alla s’assoire sur un banc contre le local en attendant le rouquin. Il se demandait ce qu’il allait pouvoir lui dire…et comment ? Il n’y avait pas réfléchi.


Sengoku arriva enfin près du local et il n’avait vu personne sur les terrains…Il conclut donc que les autres étaient soit déjà arrivé et ils se changeaient…soit il était arrivé à l’avance. Il se dirigea vers la porte quand il vit quelqu’un adossé contre le mur du local, regardant en direction des courts de tennis.
-A…Atobe ?
L’interpellé tourna la tête.
-Sengoku…
Se souvenant de la dernière fois qu’ils s’étaient parlé, ils rougirent tout les deux. Tout deux voulaient se voir…mais aucun n’avaient réfléchi à ce qu’ils se diraient en ce voyant. Quoiqu’il en soit…
-Ah ! Sengoku ! Tu es déjà arrivé ? Hum…Atobe ? Pourquoi tu es là ?
-Minami-bucho…Je ne participe pas à l’entraînement aujourd’hui.
-He ?!
-Désolé.
-Bon…Mais demain tu feras plus d’exercices que les autres.
-Ok
…Ce n’était pas vraiment le bon endroit pour parler.
-Atobe…tu viens ?
-Oui…Au revoir.
Le châtain salua le capitaine de Yamabuki et suivit le rouquin. Ils sortirent tout deux du lycée et marchèrent un moment s’en s’adresser la parole. Atobe suivait Sengoku qui s’arrêta devant un parc où quelques enfants jouaient. Ils allèrent s’asseoir sur un banc côte à côte mais avec une petite distance.
-Co…Comment va ta blessure ?
-Hein ? Euh…bien merci.
Un nouveau blanc…C’était assez pesant. Atobe voulait dire à Sengoku ce qu’il ressentait pour lui…mais il n’y arrivait pas. Et le silence de celui-ci ne l’aidait pas.
-Je…Pourquoi tu es venu me voir ?
Atobe rougit une nouvelle fois. Il devait lui dire, lui faire comprendre qu’il…qu’il l’aimait.
-Je…
Dur. Il comprenant à présent le mal que pouvait avoir les filles de son fan-club à lui dire « Je t’aime » sérieusement.
-Je…Je t’…
Sengoku l’enlaça tendrement. Il savait que ce que voulait lui dire Atobe étaient les mots qu’il désirait entendre depuis longtemps. Et il savait qu’ils n’étaient pas facile à dire.
-Je t’aime
Enfin il avait réussi à le dir. L’étreinte de Sengoku l’avait encouragé. Ce dernier posa sa main sur la joue droite d’Atobe qui ferma les yeux. Le roux approcha doucement ses lèvres du châtain et l’embrassa tendrement. La bouche d’Atobe s’entrouvrit et la langue de Sengoku y entra, cherchant sa partenaire de jeu. Cette dernière, un peu hésitante, l’a rejoint rapidement et le baiser devint plus profond. Se sentant observé, les deux garçons arrêtèrent de s’embrasser et tombèrent sur les regards étonnés de quelques enfants qui jouaient dans le parc quelques instants plus tôt. Les deux garçons rougirent et ne sachant quoi leur dire ils partirent rapidement. Arrivés à la sortie du parc, Sengoku glissa sa main dans celle d’Atobe et ils avancèrent en direction de la maison du châtain qui n’était plus très loin.
-Je te raccompagne jusqu’à chez toi.
Il ne répondit pas et ils marchèrent en silence. Une fois arrivé devant l’imposante demeure, la séparation était un peu difficile.
-Au fait…Je sais que c’est un peu tard maintenant mais…
-Oui ?
-Tu…veux sortir avec moi ?
Atobe sourit et embrassa Sengoku qui sourit a son tour. Il considérât ce geste comme un « oui ».
-Je vais renter chez moi…ma sœur veut que je l’aide à ranger le garage. On se revoit quand ?
Il devait déjà repartit ? Atobe était un peu triste mais il savait qu’ils allaient se revoir. Le problème…quand ? Il allait être occupé toute la fin de semaine…Le châtain sortit un bout de papier de son sac, écrivit rapidement son numéro et le tendit au rouquin.
-Tiens...Et...ce week-end...on pourra se voir?
-Bien sur. Je t’enverrais un message avec mon numéro quand je rentrerai. Là je ne l’ai pas sur moi.
Sengoku sourit et déposa un baiser sur le front d’Atobe avant de partir en courant. Le châtain rougit et se dirigea vers le bâtiment.


Sengoku arriva en courant devant chez lui. Le soleil était pratiquement couché et les premières étoiles apparaissaient. Ca avait été une très bonne journée et il pensait que plus rien ne pouvait la gâcher. Il ouvrit la porte de la maison, y entra et tomba…sur les restes d’un cambriolage ?! Les tiroirs de meubles étaient ouvert, les plantes renversaient, des feuilles étaient éparpillés partout…Sengoku avança prudemment dans le salon et se retrouva soudainement, plaqué contre un mur.
-Hello…Tu m’avait oublié ?
Comment aurait-il pu l’oublier ?! C’était à cause de cet homme qu’il avait dû se prostituer ! Ce voyou…dont il ne connaissait même pas le nom et qui était une brute épaisse ! Qu’est-ce qu’il faisait ici ? C’est lui qui avait foutu ce bazar ? Et qu’est-ce qu’il lui voulait encore ?
-Qu’est-c’que tu fous ici ?
-Soit plus poli !
Le voyou lui donna un coup de poing au visage et le fit tomber durement par terre. Toujours aussi violent…
-File moi de l’argent !
-He ?! Mais…j’ai déjà payé ce que je te devais cette semaine !
-Pas assez ! Me faut 1000€ !
-Mais j’ai pas cette somme !
Le voyou ne dit rien et regarda autour de lui. Il attrapa Sengoku par le col et le plaqua contre le mur, face vers lui cette fois. Il le regarda d’un air sadique et lui recolla un coup au visage.
-J’lai veut pour Samedi sinon…
Il ne finit pas sa phrase et lâcha Sengoku qui avait sa main contre sa joue endolori. Le voyou shoota dans un des tiroirs au sol et sortit de la maison sans rien dire. Le roux ne savait plus quoi faire. Jamais il n’aurait assez d’argent pour Samedi…dans 2 jours ! Il se dirigea, titubant légèrement, jusqu’à la salle de bain où il prit une compresse dans la boite à pharmacie. Il se l’appliqua sur la joue et retourna dans le salon où il commença a ranger le bazar avant que sa sœur et ses parents ne reviennent.

Fin du chapitre 11

Ca y est!!!!!!
Le bisou ^^ (le vrai, le grand , le beau....)

Mais que va-t-il bien arrivé à nos deux tourtereaux maintenant?
Tu me fais aimer ce couple lol

Kitties, toujours aussi ... directe xD IL devrait déjà fuir au loin le mec !

Nyaaaan ! Les ennuis reviennent vite ! >_<'''

Que va faire Atobe pour l'aider ? Hein ? Quoi donc ? J'veux savoir ... pour ça ... suite ... (comment arriver à placer le mot xD)

Enfin droit au baiser, à la réciprocitude (... vive le mot inventé) ! >w< M'étonne pas qu'il soit triste Keigo quand il part T.T L'aurait pu attendre.

Juste une chose O.ô Si normallement il devait faire son entrainement de tennis, devait rentrer une heure ou deux. La on suit Sengoku et Atobe, vont au parc s'embrassent ramène Atobe devant chez lui ... euh ... tout ça fait une heure ? xD (Je sais, suis chiante avec les question con =P).

Toujours la suite, tu connais les fans *x*

euh...xD j'ai pas fait gaffe à la temporalité xD

Bon...pas le chap 12 (en écriture) mais un wall assez simple que je viens de finir =3 Mon new fond d'écran x)

hannnnnnnnnnnnnn trop beau le fond d'ecrannnnnn

nan mais magnifique ^^

Bon allez...le voila le chap 12 xD Je l'ai fini hier soir ^^ Maintenant je vais surement attendre La semaine prochaine pour continuer ^^ (j'ai remplie mon quotat de chapitre pour la semaine =D)

Chapitre 12

Il arriva chez lui et trouva son père en tenue de cuir, un fouet à la main, un homme attaché par terre et nu. Il balança son manteau sur le fauteuil et se tourna vers son père qui détachait l’homme. Une fois ce dernier libre, il les salua et partit. Laissant son « maître » et son fils seuls.
-Tu l’as vu ?
-Oui…Mais il n’avait pas d’argent.
-Et tu es parti comme ça ?
-Oui…Je lui ai donné jusqu’à Samedi.
-C’est court…Il n’aura jamais l’argent.
-Qu’importe…Tu n’as qu’à aller le voir.
-Je le ferais venir à l’infirmerie demain…et lui donnerait rendez-vous.
Le garçon sourit et monta dans sa chambre. Il avait d’autres projets pour le rouquin. Le fait que son père, infirmier à Yamabuki, se tapait des collégiens lui importait peu. Il voulait voir souffrir les gens…et sa cible préféré depuis un moment était ce roux qui avait eu le malheur de lui abîmer sa veste. Il devait avoir hérité du caractère sadique et masochiste de son père (1). Le voyou se laissa tomber sur son lit et attrapa son portable. Il composa rapidement un numéro.
-Allô chef ?
-Je veux que tu observes le mec chez qui on est allé tout à l’heure pour fouiller la baraque.
-Le roux ?
-Ouais. Observe-le et trouve moi ce qu’il a de plus précieux.
-Bien.
Il raccrocha et sourit.


Le sbire arriva devant la maison dès 7h30 du matin. A cette heure-là, sa cible n’allait sûrement pas tarder à aller à l’école. Et en effet, Sengoku sortit de sa maison une dizaine de minutes plus tard. Il le suivit jusqu’à son école et resta devant l’entrée.

Sa joue lui faisait un peu mal…Sengoku hésitait à aller voir l’infirmier car ce qui s’était passé la dernière fois…Il s’en souvenait bien ! Certes, il n’avait plus mal à sa blessure au ventre mais avec l’infirmier…valait mieux se méfiait. Oh et puis zut ! Il pouvait bien supporté une petite douleur à la joue. Le roux entra dans sa salle de classe et s’installa à sa table. Quand il eut sortit ses affaires de son sac, un message passa en annonce.
« Sengoku Kiyosumi est demandé à l’infirmerie, Sengoku Kiyosumi »
Il soupira. Apparemment, il ne pouvait pas y échapper…Il se leva et se dirigea donc vers l’infirmerie où il fut accueilli par ce sadique d’infirmier. Ce dernier le fit s’asseoir sur une chaise et s’adossa contre le mur en face du rouquin.
-Pourquoi vous vouliez me voir ?
-Je voulais examiner ta blessure…
Le roux enleva son tee-shirt et l’infirmier examina la plaie. Il afficha un sourire légèrement contrarié, le blessure était pratiquement cicatrisé…Il fit signe à Sengoku de remettre son tee-shirt. Le rouquin n’aimait pas quand cet homme le regardait comme ça…
-Ce soir on se voit…
Sengoku ne répondit pas. Il avait besoin d’argent pour samedi…mais en même temps, maintenant qu’il sortait avec Atobe, il ne pouvait plus se permettre ce genre de chose…et pourtant…
-Quel heure ?
-19h, même endroit que la dernière fois.
Sengoku acquiesça d’un signe de tête et retourna vers sa salle de classe. Quand à l’infirmier, il préparait déjà sa soirée avec le jeune homme.


Atobe renvoya la balle avec une amortie que Jiroh ne rattrapa pas. Leur match d’entraînement venait de finir et c’était au tour de Kabaji contre Hiyoshi…Le châtain profita de cette pause pour regarder les messages sur son portable et sourit. Il y en avait un de Sengoku : « Salut…Ah ! Sa fait trop bizarre de t’envoyer un sms ! Enfin…euh…ah oui ! Si sa ne te déranges pas tu pourrais passer me voir après ton entraînement ? J’aimerais beaucoup te voir…Bisous (ah ! c’est trop bizarre…) »
Atobe sourit une fois de plus. C’est vrai que c’était assez étrange mais ça lui faisait plaisir. Il répondit rapidement qu’il viendrait dans une demi heure et retourna sur les courts, auprès d’Oshitari.


Sengoku était affalé devant la porte de sa maison, tripotant son portable quand une sonnerie retentit. Atobe venait de répondre qu’il arriverait bientôt. Il rougit et rangea son portable dans sa poche, regardant le ciel. Ce soir il se prostituerait pour la dernière fois. Il comptait dire à Atobe qu’il arrêtait…mais en excluant bien le fait que ce serait la dernière fois, ce soir.

Le sbire du voyou le surveillait toujours. Il était à présent en face de chez Sengoku, caché dans des buissons, à l’abri des regards. Il se demandait ce que pouvait attendre le roux et il eut rapidement sa réponse. Un garçon au cheveux châtain venait d’arriver à bord d’une longue voiture noir, style limousine. Etonné, le sbire vit le roux prendre le châtain dans ses bras et…l’embrasser ?! Il sourit. Il avait trouvé beaucoup plus vite qu’il ne l’aurait pensé.

Atobe n’était pas encore habitué à ses gestes mais il les appréciaient. Il regarda Sengoku dans les yeux. Ce dernier ouvrit la porte de la maison, invitant le châtain à entrer mais il ne bougea pas.
-Tu ne rentres pas ?
-Mes parents sont exceptionnellement là ce soir, alors je dois rentrer rapidement…même si je préférerais rester avec toi.
Il rougit en disant ses mots. Il voulait réellement rester plus longtemps avec lui mais ce n’était pas possible ce soir. Sengoku afficha un léger sourire mais on voyait dans son regard qu’il était un peu déçu.
-Je…bon pas grave.
Il referma la porte et s’adossa contre celle-ci.
-Je…je t’ai demandé de venir car j’ai quelque chose à te dire.
-Je m’en doute bien.
-Je vais arrêter la prostitution.
-Co…Comment tu vas payer tes dettes ?!
-Je trouverais…
-Je vais les payer !
-Mais…
Ses paroles s’évanouirent lorsqu’Atobe posa ses lèvres sur les siennes. Il était inutile d’essayer de le faire changer d’avis car si Atobe décidait de quelque chose, il le faisait !
-Ne t’inquiète pas…Je t’aiderais.
Des larmes montèrent aux yeux de Sengoku mais il les essuya d’un geste de la main. Il sentit la main d’Atobe sur sa tête et le vit sourire.
-Chuis pas un gamin
-T’allais pleurer.
-He ?! Bien sur que non !
Le châtain rit et retourna vers sa voiture. Il fit un signe d’au revoir à Sengoku et repartit.

Pendant ce temps, le sbire avait prit plusieurs photos du couple. Il attendit que le roux soit retourner à l’intérieur avant de sortit de sa cachette et de courir jusqu’à la maison de son chef. Il était dans les environs de 18h quand il y arriva. Il sonna et la porte fut ouverte par un homme en blouse blanche.
-Tu es un ami de mon fils ?
-Ouais…Il est là ?
-Entre…
Il entra donc à l’intérieur de la maison et en passant devant le père de son chef, il sentit une main passait sur ses fesses. Il se retourna vivement mais il avait disparu.
-Alors ?
Le voyou (2) venait d’arriver dans la pièce et il fit s’asseoir le garçon sur un fauteuil. Ce qu’il fit avant de se relever rapidement car il s’était assis sur quelque chose de dur…un fouet ? Enfin, il n’avait pas à s’en occuper.
-Il est amoureux…et sort avec cette personne
-Elle ressemble à quoi ?
-Plutôt… « il »
-Intéressant…Et donc ?
-Hum…il est châtain, à un grain de beauté sous l’œil droit, assez grand…apparemment riche puisqu’il est arrivé chez le roux dans une espèce de limousine avec un chauffeur…J’ai des photos.
Il sortit son portable et montra rapidement les photos du couple.
-Tu as son adresse ?
-Non…
-Je crois savoir qui c’est. Ce garçon a accompagné Sengoku à l’infirmerie l’autre jour…Il vient de Hyotei je crois…Si tu veux, j’interrogerais discrètement le capitaine de Yamabuki pour savoir qui il est, demain.
-Alors c’est parfait… Rentre-chez toi !
Le voyou jeta un regard noir à son sbire qui partit aussitôt laissant les deux hommes seuls. Le plus âgé alla vers la salle de bain et se prépara pour rejoindre Sengoku. Il était 18h39. Son fils monta dans sa chambre , s’y enferma et se mit à rire comme un dément. Il avait un plan qui lui plaisait vraiment…et avait hâte de l’appliquer.

Fin du chapitre 12


(1) C’est même certain ! Psychopathe è_é Non mais…mon Sengoku TT__TT Ah ! Chotto ! C’est moi qui est donné ce caractère au voyou sans nom O_O Uso !!!! >_< Chuis sadique !

(2) Le voyou, le sbire et l’infirmier n’auront jamais de nom xD Oui je sais c’est pas pratique mais bon u_u Pour moi c’est plus simple

Ohoh!!! Ca vire au grand sadisme!
Quels nuages noirs se profilent dans le ciel de nos deux tourtereaux ^^

erffffff je le sens mal le coup la -_-

aller atobe sors les garde du corps XD ( quoi on sais jamais il peut être voyant!!!!!! imagine atobe en trelawney de HP XD)

Oula xD Ca devient horribl'. Je sens les malheures arrivés sur leurs chevaux...

xD Le mec qui se met à rire ... j'trouve ça très mangatique et en même temps très con ... =D J'adore. Il va s'enfermer dans sa chmabre puis il se met à rire ... C'est sûr que c'est "dément". Juste pour une veste en plus. Y a des fous parfois u.u''

Taaho veut une suite ! =D

suite mardi xD

aujourd'hui je met des photos ,un peu flou, de ce que j'ai acheté à Paris aujourd'hui ^3^

à Book-Off: Des doujinshis!!!! 9 pour 18€ =3
J'ai donc: Prince Kiss 9 et 10: Grand Slam! 1, 2, 3 et 6; et 3 autres dont les noms sont en japonais

toujours à Book-Off, j'ai acheté le tome 10,5 de PoT en japonais ^^...2€ x)


pis à Konci: Deux posters, une planche d'autocollant et un machin à coller sur les vêtements...tout ça Prince of Tennis!! Shigu Nyappy :')

Rikkai powaa!!!! Je voulais prendre Hyotei mais il n'en avait plus :'( m'en fout z'ai Rikkai x)

Bucho powaa!!!! Y'a Minami dessus!!! NYA!!! normal après tout x)

Des stickers...ont les voit pas bien j'essayerais de les scanner ^^ mais sont trop chou!

Thermo-collant Eiji!!! vais le mettre sur mon sac de cours surement x)

pas acheté mais vu en rentrant dans Konci:

NYA >3<

Pourquoi on a pas de boutiques comme ça dans notre campagne ensoleillée???

T'as trouvé ton bonheur ! Moi contente pour toi ^^

Quelle chance d'avoir tout ca dans une boutique!!! T_T
Ralala, les plaches d'autocollants, j'en ai acheté 5 à la Japan Expo et j'avais mis énormément de temps à les choisir mdr

Je ne savais pas que l'on pouvait acheter des doujins à Paris... (jamais allée à Paris, sauf dans le métro pour aller à la JE et la gare Montparnasse) et en plus, ils sont vraiment pas chers...

voui ^o^ j'en ai lu qu'un pour l'instant Prince Kiss 9...y'en a des marrants xD

love Konci pis là où j'ai acheté mes doujinshis aussi >_< J'ai une amie qui va à Paris ce week-end...vais lui donner de l'argent pour qu'elle m'en rachète *_* (vu qu'elle en veut de One Piece xD)


Chapitre 13

Encore une fois, l’infirmier n’y était pas aller de main morte ! Fouet, objets SM et autres y étaient passé ! Heureusement que c’était la dernière fois…mais il ne savait pas comment le dire à l’infirmier. Ca n’allait certainement pas lui plaire et valait mieux attendre d’être sorti du love-hôtel avant d’en parler…Oh et puis…Pourquoi devrait-il lui dire ? Il n’avait pas de compte à lui rendre. Sengoku entendit l’infirmier sortir de la douche et le vit arriver quelques minutes plus tard, habillé. Le roux, s’enveloppa dans le drap et se dirigea à son tour jusqu’à douche tout en sentant le regard pervers de l’homme dans son dos. Une fois, la porte fermé à clé, il entra dans la douche et fit couler l’eau fortement et commença à frotter tout les endroits où il avait été toucher par cet homme qu’il détestait.


Dernier jour de cours avant le week-end ! Demain, Minami irait avec Akazawa, capitaine de St Rudolph, au parc d’attraction pour une journée en amoureux ! Le brun se leva dès que la sonnerie de la pause résonna dans le collège et il se dirigea vers le distributeur. Il était en train de prendre un pain au melon quand une annonce fut passé. Il était demandé à l’infirmerie. Se demandant bien pourquoi, Minami mangea rapidement son petit pain et courut jusqu’à l’infirmerie.
-Vous m’avez demandé ?
-Oui mais ne t’inquiète pas ce ne sera pas long.
L’infirmier s’assit sur sa chaise et regarda fixement Minami. N’aimant pas l’attitude de l’infirmier, le brun lui adressa un regard interrogateur.
-Tu te souviens quand toi et un autre garçon m’avait emmené Sengoku Kiyosumi ?
-Euh…oui.
-Qui était l’autre garçon ? Je l’ai déjà vu quelque part mais pas moyen de me rappeler qui il est…
Devait-il lui dire ? Minami n’avait pas vraiment confiance. Mais bon, après tout qu’est-ce qu’il risquait ?
-Atobe Keigo du collège Hyotei. Il était ici dans le cadre d’un entraînement commun entre nos équipes.
Le médecin scolaire se leva subitement et sourit. Il congédia Minami et sortit son portable de sa poche. Composant rapidement un numéro, il le porta à son oreille et attendit. Son fils décrocha rapidement.
-Atobe Keigo de Hyotei.
-Merci…
-Qu’est-ce que tu va faire ?
-Je t’en parlerais quand se sera fait…
Ils rirent bruyamment ensemble et raccrochèrent. De vrais psychopathes !

Il avait eu l’info qu’il voulait alors autant appliqué le plan tout de suite ! Il appela rapidement quelques membres de son « gang » et alla jusqu’au collège Hyotei qui était un peu trop grand à son goût…Comment retrouvé sa cible ? Il entra dans l’enceinte de l’établissement et fut dévisagé par plusieurs personnes. Rapidement rejoint par ses acolytes, il interrogea un groupe de filles qui gloussaient pas loin d’eux.
-Vous le connaissez ?
-Kyaaa !!! Une photo d’Atobe-sama !!! Je la veux !
-Doucement les groupies ! J’veux savoir où il est…
Les filles se regardèrent entre elles. Ce garçon était vraiment louche avec ses « amis »…Mais quelque chose dans le regard de ses derniers leur disait qu’il valait mieux leur répondre. Ce fut une jeune fille brune avec les cheveux long qui lui répondit.
-Il est dans ma classe.
-Va me le chercher.
-Et je lui dit quoi ?
-Qu’il y a un garçon qui « a une chose dont il a oublié de lui dire hier soir ». Il comprendra et surtout ne me décrit pas ! Je veux lui faire une surprise…
Les filles gloussèrent et la brune partit en courant vers l’enceinte du collège.

Atobe soupira en regardant par la fenêtre. Qu’est-ce que les journées pouvaient être longue des fois…Il entendit une voix l’appelait et il se retourna vers une fille…de sa classe si sa mémoire était bonne…Décidément, quand Kabaji était pas là, il était assailli !
-Atobe-sama…
-Quoi ?
-Il y a un garçon qui voudrait vous voir dehors…
-Il ressemble à quoi ?
-Il m’a dit de vous dire qu ‘il avait oublié de vous parlez d’une chose hier soir…Vous devez le retrouver derrière le gymnase.
Le regard d’Atobe s’illumina ! Ca ne pouvait qu’être Sengoku ! Il se leva de sa chaise, remercia rapidement la jeune fille et parti en marchant rapidement vers l’endroit qu’elle lui avait indiqué. Une fois arrivé…il ne vit personne ? Qu’est-ce que ça voulait dire ?! Soit il s’était trompé d’endroit…mais Ore-sama n’était pas si bête ! Soit c’était une farce…mais dans ce cas comment cette fille aurait pu savoir que Sengoku et lui s’était vu la veille ? Atobe était perdu dans ses réflexions et n’entendit pas le voyou arrivé discrètement derrière lui, un mouchoir a la main. Ce dernier fut plaqué sur le visage du châtain qui après s’être débattu quelques secondes, s’endormi. Deux acolytes du voyou portèrent Atobe jusqu’à la sortie du collège, évitant soigneusement les élèves de Hyotei Gakuen.


Les cours étaient fini et Sengoku prit le chemin pour rentrer chez lui. Il sortit son portable de sa poche, chercha le numéro d’Atobe dans son répertoire et l’appela. Il tomba sur sa messagerie…Bizarre. Mais il était peut-être encore à l’entraînement de tennis. Après tout Hyotei ne finissait sûrement pas au même heure que Yamabuki. Une fois arriver devant chez lui, il se stoppa. Un ,deux…cinq ! Cinq personne venait de l’encercler, sortant de plusieurs endroits. Il se prépara à se battre et eut raison. Les voyous, car il savait que s’en était, foncèrent tous sur Sengoku qui en mit un KO directement. Les coups arrivaient de partout et le roux n’en évitait que la moitié mais il tenait bon. Il n’était plus question de se laisser avoir, aussi il se défendit aussi bien qu’il le put…Malheureusement un sixième voyou arriva par derrière et assena un coup dans la nuque de Sengoku qui s’évanouit. Les autres le portèrent et se dirigèrent deux quartiers plus loin, dans un vieux hangar.

Fin du chapitre 13

^^
Toujours aussi bien!!!
Je me demande qu'elle va être la fin des méchants niark niark

C'était dur d'écrire ce chapitre :'( Attention "violence" et viol dans ce chapitre TT_TT OUIN Atobe!!!!! Sengoku TT_____TT J'éspère que vous voudrez toujours lire ma fic après ce chapitre :'(


Chapitre 14

Le voyou jubilait. Il allait enfin pouvoir faire souffrir le roux…Pour toutes personnes extérieur à son groupe, on pourrait pensé qu’une histoire de veste taché prenait des dimensions exagéré…Mais en réalité, le voyou s’en foutait complètement ! Il aimait voir souffrir les gens et sa nouvelle cible était Sengoku Kiyosumi. Ce dernier arriva, inconscient et portait par deux garçons. Ils le posèrent à terre et l’attachèrent à l’un des piliers en ferraille du hangar. Le voyou s’avança jusqu’au corps inanimé de Sengoku et s’accroupit en face de lui. Il empoigna les cheveux de Sengoku et le réveilla en lui donnant un coup de poing. Le roux ouvrit difficilement les yeux et il lui fallut quelques minutes avant de comprendre où il était et ce qu’il s’était passé. Il découvrit avec horreur qu’il était attaché et que le voyou était en face de lui, le regardant d’un air méprisant. Le roux lui rendit son regard et aurait voulu lui cracher à la figure mais c’était prendre un risque étant donné qu’il était attaché solidement…d’ailleurs les liens étaient trop serré.
-Pourquoi chuis là ?
Le voyou ne répondit pas, fit un sourire sadique, se leva et avança vers le groupe de voyou debout à quelques mètres. Sengoku le suivit de regard et quand il vit les voyous s’écartaient pour laisser leur chef passait, il cru que son cœur allait le lâcher. Debout, bâillonné et attaché contre un autre pilier de ferraille, Atobe le regardait effrayé. Le roux se débattit comme il put, tenta de se détacher mais il ne réussi à rien. Le voyou approcha son visage de celui du châtain qui tenta de se dégager mais la main du voyou autour de sa gorge l’en dissuada. Il sentit la langue du voyou se promener sur sa joue et descendre le long de son cou.
-LACHE LE TOUT DE SUITE !
Le voyou s’arrêta, enleva sa main du cou d’Atobe et se redirigea vers Sengoku qui le regardait furieux. Il donna un coup de pied dans le ventre du roux qui poussa un cri de douleur.
-Tu crois réellement être en position pour te la ramener ?!
-Pou…Pourquoi tu fais ça ?
-Hum…j’ai envie.
Sengoku le regarda horrifié. Comme ça ? Sans raison ? Bizarrement l’attitude du voyou lui rappeler celle d’une autre personne…Mais qui ? Quoiqu’il en soit…
-Relâche Atobe.
-…Nan. J’ai besoin de lui.
-Pour faire quoi ?!
-Tu va le découvrir bien assez tôt…La caméra est prête?
Un des voyous, venait de sortir un caméscope d’un sac, l’avait allumé et il filmait son chef. Il acquiesça et sourit en faisant un gros blanc sur son chef. Celui s’était avancé vers lui, prit un sourire commerciale et parla devant la caméra.
-Ca filme ? Bon…aujourd’hui je vais prendre mon pied !!! Voilà père…tu va savoir ce qu’était mon projet…Savoure bien ! AHAHAHAHAHAHAH !!!!!!!
Sengoku et Atobe se regardèrent. L’un avec un regard de détresse en larmes, l’autre avec un regard où l’on lisait de la haine envers l’agresseur de la personne qu’il aimait. Le roux tira plus fortement sur les liens mais ceux-ci se resserrèrent encore plus. Pendant ce temps, le voyou était retourné auprès d’Atobe et avait commencé à lui baisser son pantalon. Le châtain lui donna quelques coups de pied et le voyou ne lui répondit que par un coup de poing dans le ventre. Atobe avait peur et les souvenirs de « cette nuit » lui revint en tête. Soudain, le voyou le força à se mettre à genoux, lui enleva le bâillon et de grosses larmes commencèrent à couler lorsque le voyou enfonça son membre dans la bouche d’Atobe, le forçant à le sucer. Le châtain failli vomir. C’était la deuxième fois qu’il se retrouvait dans cette situation et encore une fois, il ne pouvait se défendre. Il entendait les cris de Sengoku qui voulait que le voyou arrête mais au lieu de ça, il accéléra ses mouvements de va-et-vient pour enfin, éjaculer. Atobe recracha tout le sperme que le membre du voyou avait rejeté et ce dernier lui empoigna les cheveux. Atobe n’osait le regardait et Sengoku se mit à hurler.
-ENFOIRE !!!
-Et encore…c’est pas fini !
Le voyou lâcha le châtain et se dirigea vers l’un de ses acolytes. Ce dernier lui tendit un fouet qu’il prit et alla re-bâillonner Atobe pendant que son chef avançait vers le roux.
-Mon père m’a dit que tu aimais bien le fouet…
Bien sur, c’était faux et le voyou le savait. Il leva son bras et le rabaissa vivement. Le fouet frappa violemment le corps du roux qui commençait à se rappeler à qui le voyou lui faisait penser. Bizarrement cela devenait évident au fur et à mesure qu’il recevait les coups de fouets. Cette manière de parler, d’agir…ce plaisir à voir souffrir les gens…
-T’es le fils de l’infirmier de Yamabuki ?!
Pour toute réponse, le voyou redonna un violent coup de fouet, sourit et retourna vers Atobe. Il posa le fouet à proximité du garçon et le détacha. Atobe pensait que c’était fini et qu’il le libérait…mais ça aurait été trop beau. Le voyou n’avait fait que le détaché du pilier, ses mains étaient toujours emprisonnés. Il fut forcer de se mettre à quatre pattes, le visage collé contre sol horriblement froid. Positionné ainsi il ne voyait plus Sengoku…D’ailleurs…Pourquoi ? Pourquoi il devait subir tout ça ?! A cause de lui ? Le voyou se plaça derrière Atobe et il enfonça son membre brutalement dans l’intimité du châtain. Si il avait pu hurler, il l’aurait fait mais le bâillon l’en empêchait. Sans aucune délicatesse et de manière sauvage, le voyou effectuait de violent mouvement de va-et-vient. Atobe avait horriblement mal. Le voyou fit demander son fouet et tout en continuant de violer Atobe, il le fouettait. Des gouttelettes de sang perlèrent sur le dos meurtries d’Atobe et en les voyant, le voyou ria comme un damné. Il fouetta plus fort, accéléra le rythme de ses mouvements…Ce fut trop pour Atobe qui sentit ses forces l’abandonnait d’un coup. Il s’évanouit. Vexé, le voyou comptait bien le réveillé, aussi il sortit un couteau de sa poche. Il sortit son membre de l’intimité du châtain, le retourna afin de l’avoir en face de lui et commença à faire de légère entaille sur le torse d’Atobe. Puis une un peu plus profonde mais le châtain ne bougeait toujours pas. Le voyou haussa les épaules, regarda le roux qui avait du sang qui coulait au coin de sa bouche…Apparemment il s’était mordu volontairement. Le voyou regarda rapidement ses acolytes et re-pénétra Atobe. C’était de trop pour Sengoku ! Qu’importe la douleur qu’il éprouvait aux mains à force d’avoir essayer de se libérer…Elle n’était pas aussi grande que celle qu’avait pu éprouver Atobe. Le roux essaya désespérément d’enlever ses mains des cordes qui le retenaient. Il utilisa le sang qui coulait de ses poignées pour faire glisser ses mains des liens. Une fois libre, il se leva aussitôt et courut vers le voyou, lui assenant un coup de poing au visage. Il s’apprêtait à aller le frapper lorsque les autres voyous l’attrapèrent. Le voyou furieux, se releva et après avoir rapidement renfilé son pantalon, alla donné autant de coup qu’il le pouvait sur le corps de Sengoku, fermement retenu par ses acolytes. Le roux baissa la tête lorsque le voyou tenta de lui donnait un coup de poing au visage et se fut l’un des garçons qui le tenait qui se prit le coup. Profitant de ce moment, Sengoku réussit à s’échapper et alla cogner le voyou, le plaquant au sol. Il lui donna quelques coups au visage mais fut rattrapé par les autres. Il en frappa un ou deux, les mettant KO et compta rapidement pour voir combien ils étaient. Incluant le chef et celui qui tenait la caméra, ils étaient encore une dizaine…C’était beaucoup pour lui tout seul mais qu’importe. Ils se battaient tous et Sengoku s’arrangeait pour que la bagarre soit loin du corps d’Atobe. Un de KO…encore 9 ! Allait-il vraiment y arriver ? Il entendit son portable sonnait mais ne pouvant décrocher, il appuya sur une touche au hasard à travers sa poche et retourna se battre. S’occupant de celui à la caméra, le roux ne put esquiver le coup de couteau du chef des voyous. Deuxième fois qu’il se prenait un coup comme ça…Mais cette fois il ne s’évanouirait pas. De toutes façons, avec tout les coups qu’il s’était prit, Sengoku ne sentait plus tellement la douleur et ne savait même pas où il avait été touché…Il s’en inquiéterait plus tard ! Plus que 8 ! C’était très dur de se battre contre autant d’adversaires…Il entendit le bruit d’une moto dehors…Sûrement d’autres personnes qui arrivaient…Il allait devoir en affronter plus ?! Autant essayer de finir avec ceux-là d’abord. Le roux esquiva un nouveau coup et se retrouva à quatre pattes, poussait par un des voyous. S’attendant à recevoir un coup, il n’entendit que des gémissements de douleur et le bruit de coup que l’on donnait…Sauf que ce n’était pas lui qui se prenait les coups et après avoir regardait paniqué, vers Atobe, il sut que ce n’était pas lui non plus…Se relevant rapidement il vit un corps tombé là où il était quelques secondes auparavant. Sengoku se retourna et vit un garçon assez grand, un uniforme blanc, une cigarette à la bouche…
-Akutsu ?!
-Bats-toi au lieu de me regarder comme ça gamin !
Sengoku reprit ses esprits et recommença à se battre. Il y avait une personne dont il voulait s’occuper en priorité…Le chef des voyous ! Celui qui était la cause de tout ses problèmes. Le roux le chercha rapidement du regard, et le vit auprès d’Atobe, son couteau sous la gorge de ce dernier. Sengoku fonçant sur lui et l’empêcha à temps d’égorger le châtain. Il lui asséna un coup violent derrière la nuque, un autre dans l’estomac et un autre au visage. Le voyou fut enfin mit KO. Voyant cela, ses acolytes arrêtèrent de se battre et prirent la fuite, laissant ceux KO et leur chef.

Fin du chapitre 14

Ralala, c'est gore...
Pauvres amoureux T_T
Comment va réagir Atobe à ca???
(gomen, mais j'ai aussi pensé "bon, c'est bon, il connait déjà la sensation de la pénétration, alors Sengoku va pouvoir y aller...")

je sais...ce chap a été dur à écrire TT___TT C'est une amie qui m'a donné l'idée du viol :'( mais là j'écrit le chap 15 >_< (j'arrête pas d'écrire! chaque fois que je suis en cours, j'écrit des bouts de ma fic xD)

bref en attendant...un dessin x)



je le présente au concours de St Valentin ou pas? xD

double post gomen u_u
le début d'une de mes nouvelles fics ^^

Auteur : Shigure-chan
Base : Prince of Tennis
Genre : Shonen-Ai
Couple : BuntaXKirihara
Disclaimer : Perso pas à moi...bouh :’( y’a de l’injustice dans ce monde…Konomi-sensei à crée des beaux gosses x)
Note : Bon fic plus courte que Tasukete xD Elle fera moins de 5 chapitres je pense xD Et chacun seront assez court u_u

Indigestion

Chapitre 1

Kirihara Akaya arriva comme d’habitude sur les terrains de tennis de Rikkai. Le brun était en train de se changer dans le local quand Yagyuu arriva. Le brun se tourna vers lui, vit sur son visage un air énervé mais tenta tout de même une approche.
-Euh…Yagyuu ? Ca va pas ?
Le châtain ne répondit pas et alla s’asseoir sur un banc en face de Kirihara qui décida de l’ignorer et qui mit son tee-shirt. Soudain, il sentit des mains sur ses hanches et tournant la tête il vit Yagyuu lui sourire.
-Puri !
-Nioh ! Encore ?!
Le châtain enleva les lunettes et sa perruque. Décidément il ressemblait vraiment à Yagyuu quand il le voulait ! Kirihara, légèrement énervé attrapa sa raquette de tennis et sortit dehors, suivi de Nioh qui avait remit sa perruque et ses lunettes et qui se dirigeait vers Sanada… Le brun vit Jackal et chercha du regard Bunta…Absent ? Il se dirigea vers le bronzé.
-Il est où Marui-senpai ?
-Pas encore arriver…
Kirihara haussa les épaules et alla s’entraîner contre un mur. Soudain Yagyuu arriva en courant. Après avoir vérifié que c’était le vrai, Kirihara lui demanda ce qu’il voulait.
-On va tous à l’hôpital !
-Voir Yukimura-bucho ?
-Voir Bunta !
-He ?! Pourquoi ?
-Tu verras.
Il ne put poser plus de question et fut entraîner par les joueurs jusqu’à l’hôpital. Ils montèrent les escaliers du l’hôpital qui leurs était familier. C’était celui où Yukimura, leur capitaine était…Il arrivèrent devant la chambre de ce dernier et Kirihara comprenait de moins en moins. Sanada ouvrit la porte et bien évidemment, c’est sur Yukimura qu’ils tombèrent…Bien évidemment ! C’était sa chambre…Tout les joueurs saluèrent leur capitaine qui après avoir parlé furtivement avec Sanada, les entraîna dans les couloirs blancs de l’hôpital. Mais pourquoi Yagyuu avait parlé d’aller voir Bunta ? Pour l’instant c’était bien leur capitaine qu’il voyait…Ils arrivèrent devant une chambre, à la porte peinte en blanc comme les autres et avec une étiquette à côté du numéro de chambre… « Marui Bunta »
-HE ?!
Etonnement général de l’équipe, sauf bien sur de Yukimura et Sanada. Ils entrèrent dans la chambre et virent le garçon au cheveux rouges, assis sur son lit, la mine boudeuse. Quand il vit les joueurs de Rikkai, il voulut se lever mais une douleur au ventre l’en empêcha.
-‘Lut…
-Non…
-Ne me dites pas…
-qu’il a fait…
-Indigestion ?!
Tous en cœur ! Yagyuu, Jackal, Nioh et Kirihara venait d’annoncer haut et fort la raison pour laquelle Bunta était à l’hôpital. Indigestion dû à une consommation excessive de sucreries et surtout de gâteaux.
-On te l’avait dit que ça allait t’arriver un jour !
Le joueur fit la moue. Effectivement, il avait dû manger un ou deux gâteaux de trop…et alors ? Il aimait les sucreries depuis qu’il avait commencé à en manger pour que son corps ait assez de sucre pendant les matchs...Car ce qui lui manquait, c’était l’endurance. Tout les joueurs parlèrent ensemble…de l’opération à venir de Yukimura, de la durée d’hospitalisation de Bunta…Kirihara alla s’assoire à côté de ce dernier.
-Ba~ka !
-Tait-toi !
-Et donc…tu sors quand ?
-Dans 2/3 jours…et interdiction de manger des sucreries.
-Evidemment.
-Mais je pourrais en remanger dans une semaine !
-Pas autant qu’avant par contre non ?
-Voui…
-Kirihara on y va.
-J’arrive Renji.
Le brun se leva et posa sa main sur la tête de Bunta, le décoiffa rapidement en lui frottant la tête puis parti avec les autres joueurs.

Fin du chapitre 1