Bric à Brac de Shigure-chan

Kitties > En fait le voyou...il me saoule xD C'est idiot vu que c'est moi qui ai crée ce perso mais bon xD Pis les copis...j'y avais bien pensé mais bon u_u

contente que ce chapitre te plait quand même ^^

Yumi > lol patience xD J'ai un sacré paquet de fic en cours xD

Piouf, j'avais deux chapitres de retard lol
La partie est loin d'être terminée, Kitties

Il semblerait que tu veilles en finir avec cette partie de l'histoire, Shigu lol
Mais c'est vrai que des perso comme le voyou, ca peut saouler lol

Chibi va encore être contente, il y a encore Akutsu mdr

lol, j'avoue que je survole tous les chapitres pour voir si y a Akutsu. Donc pour celui-là j'ai lu la partie où il intervenait.

Chapitre 21

Sengoku et Akutsu marchèrent un moment sans rien dire. Cela faisait près d’une dizaine de minutes qu’ils avaient laissé le voyou devant le hangar désaffecté. Ils avaient récupéré la casette beaucoup plus rapidement qu’ils ne l’auraient pensé. Seulement…Quelque chose turlupinait Sengoku. Pourquoi ce revirement soudain de comportement ? C’était vraiment étrange et il n’aimait pas ça. C’était idiot en plus. Après avoir été un vrai enfoiré, il devenait un voyou banal sans intérêt…Peut-être que Sengoku était un peu déçu, il aurait voulu plus de résistance pour récupérer la casette.
-Arrête de penser à ça.
-Hein ?
-Arrête de penser au manque de résistance du voyou.
-Effrayant…tu lis dans les pensées ?
-C’est juste que dans les circonstances actuelles…c’est facile de deviner.
-Mouais…En tout cas. Il faudrait que je vérifie si c’est…la bonne casette.
-Tu vas y arriver ?
-J’ai pas le choix.
-Je peux…
-Non c’est bon.
Ils étaient arrivés devant chez Sengoku. Le roux salua et remercia Akutsu qui lui répondit qu’il avait pas fait grand chose et il partit. Le roux rentra chez lui et alla dans le salon où il trouva sa mère, assise sur le fauteuil en train de regarder la télé. Quand elle vit son fils, elle se leva immédiatement.
-Tu étais parti où ?
-Ah oui…Je t’ai pas prévenu…
-De quoi ?
-J’ai la casette.
-C’est vrai ?
-Ouais…Et il n’a pas opposé de résistance…
-Bizarre.
-Comme tu le dis. Bon. Je suis fatigué, je vais me coucher dans ma chambre.
-Et la casette ?
-Je l’amènerais demain au commissariat et…je porterais plainte.
Sengoku arriva dans sa chambre et s’allongea sur son lit. Le comportement du voyou avait vraiment été étrange. Quoiqu’il en soit…Le roux tendit la casette devant lui. Il fallait bien qu’il vérifie si c’était la bonne, même si ça allait être dur. Il se releva et alla mettre la casette dans le magnétoscope de la télé de sa chambre. Puis il appuya sur « play » après avoir baissé le son. Il ne voulait pas que sa mère débarque et tombe sur la casette…Elle avait pas à la voir.
« -Ca filme ? Bon…aujourd’hui je vais prendre mon pied !!! Voilà père…tu va savoir ce qu’était mon projet…Savoure bien ! AHAHAHAHAHAHAH !!!!!!! »
Par la suite, Sengoku revit le viol d’Atobe dans son intégralité. Plusieurs fois il avait voulu arrêté la video. Il le pouvait mais il ne l’avait pas fait. Pourquoi ? Sûrement pour se rappeler à quel point il était faible…Non ! Il n’était pas faible ! Il se faisait des idées. Le roux éteignit la vidéo et s’allongea sur son lit. Le sommeil vint rapidement.


Le matin était arrivé. Cela faisait du bien d’être en vacances…Sengoku espérait juste pouvoir en profiter. Il se leva, alla se laver, s’habiller et se dirigea vers la cuisine. Il croisa sa sœur qui retournait se couché après avoir été boire un verre d’eau. Elle allait profité des vacances pour faire la grasse matinée…Dans d’autres circonstances, Sengoku aurait fait de même mais c’était impossible. Dans la cuisine, il vit sa mère qui préparait son petit déjeuner.
-Tu es levé tôt…
-Il est 9h30, c’est pas si tôt que ça (1)
-Et tu vas …
-Au commissariat. Plus vite se sera fait et mieux se sera.
-Tu as raison…Tu veux que je vienne ?
-Nan sa ira.
Sengoku prépara son petit déjeuner et le prit tout en discutant avec sa mère. Il partit ensuite vers le commissariat le plus proche, la casette vidéo dans un sac en bandoulière. Quand il y arriva, le roux entra directement sans hésitation.
-Bonjour
-Bonjour…Je voudrais porté plainte…
Le policier à l’accueil lui indique un bureau sur la gauche et Sengoku s’y rendit. Il frappa et entra quand on lui demanda.
-Vous venez… ?
-Pour portez plainte.
-Contre ?
-Je ne connais pas son nom mais …je sais comment vous pourriez vous le procurez. Quoiqu’il en soit…
Le roux sortit de son sac la casette, l’a tendit au policier qui la prit et s’assit. Le policier la regarda et la posa sur son bureau
-Je porte plainte pour viol et violence. Cette vidéo est une preuve.
-Vous avez des informations pour que nous trouvions le violeur ?
-Euh…C’est le fils de l’infirmier de Yamabuki.
-Lui ?!
Le policier sortit un papier d’un dossier et le tendit à Sengoku qui le prit. Dessus, figuré la photo du voyou et de son père.
-Oui.
-Et cette vidéo est une preuve ?!
-Bah…Oui.
Pourquoi il avait cet heureux sur le visage ce policier ? En plus, à quoi ça sevrait de demander des choses dont on a déjà parlé avant ? Il l’avait pourtant dit que la casette était une preuve, non ?!
-Parfait…
-Qu’est-ce qui est parfait ?
-Cela fait plusieurs fois qu’on essaye de coincer ce voyou et son père.
-Ah…oui ?
Le policier se leva et sortit de son bureau. Que devais faire Sengoku ? Le suivre ? Il n’en eut pas le temps. Le policier revenait avec l’un de ses collègues qui prit la casette et repartit.
-Avant de m’emporté, je préfère que la vidéo soit …Vérifié.
Il savait que c’était la procédure mais…Que quelqu’un voit Atobe se faire violé…il n’appréciait pas trop.
-Si je peux me permettre…Pour quels faits vous cherchez à arrêter le voyou et son père ?
-Pour le père et le fils, viol et cambriolage, agression…toute une palette de délits.
-Et vous n’avez jamais pu…
-Jamais. Tous ceux qui sont venu portez plainte n’avait pas de preuves.
C’état idiot. Avoir des preuves…ça ne devait pas être si difficile ! Enfin…Sengoku se rappela lorsqu’il avait récupéré la casette. Un coup de chance, le voyou n’était plus motivé. Sinon il aurait eut du mal. Sengoku était perdu dans ses réflexions et sursauta quand la porte s’ouvrit derrière lui avec fracas…(2)
-Chef…C’est confirmé.
-Bien ! On les arrêtent tout à l’heure !
Le policier se leva et invita Sengoku à en faire autant. Il le remercia et lui dit qu’il pouvait rentré tranquille. Le voyou et son père allaient être arrêtés.

Fin du chapitre 21


(1)trop tôt pour moi en tout cas xD

(2)« cling cling cling *petite musique de carillon* Aaahh ! Il fait bon ici ! » désolé…délire personnel =_=

Yayy la suite ^^

Mais il y a pas eu Atobe snif
Ca se voit vraiment que tu veux en finir avec le voyou mdr
Et je crois que revoir la video aurait du perturber un peu plus son sommeil... mais bon lol

Bah quand j'ai écris ce chapitre...j'était plus que crevé xD Je dormais à moitié sur mon PC u_u
Le voyou...il m'énerve mais là c'est bon...je m'en suis débarassé ^o^
Prochain chapitre...centrée sur Atobe et Sengoku >o<

Lu ! xD

On sent que tu veux en finir avec toute cette histoire xD.
D'un côté, ce n'est pas plus mal pour moi =w=

Le retour sur Atobe et Sengoku ! * Happy * J'ai hâte de voir =P

en attendant...quelques horreurs =_= j'aurais mieux faits de pas les colo avec ce que j'avais sous la main xD Sa rend pas bien u_u



Amane a des cheveux trop dur à faire O_O (j'aurais pas du colo mes dessins TT__TT)

et recemment (jeudi/vendredi)

Mais nan ils sont bien rooh. Pis ça me gene pas du tout les couleurs comme ça.
C'est trop chou. ^^

(Et Dabide il fait des blagues avec des formules de chimie. )

oui la blague de Amane...c'est une blague stupide que j'ai sorti en cours hier xD et du coup m'en suis servi pour mon dessin xD

Ils font bien tes dessins en couleurs, en plus, très bien réussi

Nyaa, j'adoreuh ! =D

Les couleurs sont très bien Shigu, j'aime beaucoup ! >w<

Aah, j't'envie d'arriver à dessiner ce que t'as dans la tête xD Moi je bloque =.='

j'aime bien le dessin de Sengoku.

merci toutes >o<

Bon alors...suite de Tasukete xD Chuis sadique envers Sengoku...t'inquiète mon p'tit chou =3 Tu va l'avoir ton lemon! Don't Worry!


Chapitre 22

Sengoku arriva chez lui, content. Enfin c’était fini ! Les causes de ses problèmes allaient disparaître et il allait enfin pouvoir s’occuper de sa relation avec Atobe. Relation qui…avait stagné depuis un moment. Le roux espérait que ça irait mieux pour le châtain et qu’il ne sera pas réticent à ses gestes ou autres…Ce serait dommage. Quoiqu’il en soit, avant tout…
-Maman ! C’est fait !
-Vraiment ? Alors ?
-Bah apparemment, cela faisait un moment que la police voulait les coffraient.
-Et ils n’avaient jamais pu avant ?
-Pas de preuves.
-Et avec une, ça va le faire ?
-J’espère !
Sa mère lui sourit et Sengoku se servit un verre d’eau. Il s’apprêtait à allé dans sa chambre quand sa mère lui demanda de réveillé sa sœur. Le roux arriva devant la chambre de cette dernière et ouvrit doucement la porte.
-Flemmarde…Lève-toi !
-Il est trop tôt…
-Il est pratiquement 11h…
-QUOI ?!
Elle se leva aussitôt et attrapa des vêtements qui étaient posé sur son bureau. Puis elle passa devant son frère et se dirigea vers la salle de bain.
-J’ai un rendez-vous à 11h15 !
-Avec ?
-Ca ne te concerne pas !
-Ton petit copain quoi…
-Occupe toi donc du tien !
Ah oui…Maintenant que c’était réglé…Qu’est-ce qu’il pourrait bien faire ? Il avait envie de le voir. Il voulait passé la journée avec lui. Sengoku alla dans sa chambre, se laissa tombé sur son lit, attrapa son portable et composa le numéro d’Atobe.
-Allô ?
-Salut, c’est Sengoku.
-Ah ! Tu vas mieux ?
-Mieux ? Ah oui t’inquiète.
-Tant mieux…
-Dis…On peut se voir aujourd’hui ?
-Bien sur ! Tu…veux qu’on se voie où ?
-Euh…Je sais pas. J’y ai pas réfléchi.
-Tu n’as qu’à venir chez moi et on décidera ensemble.
-D’accord.
-Tu…viens maintenant ?
-Si…tu veux.
-Je t’envoie quelqu’un.
-Je peux venir tout seul
-Tu es sur ?
-Oui…
-Dans ce cas à tout de suite.
Ils raccrochèrent en même temps et Sengoku se leva immédiatement de sur son lit. Il mit son portable à recharger le temps de trouver son porte feuille. Il prit tout ce qu’il avait d’argent comptant aller régler sa dette à l’hôpital…Il l’avait presque oublié mais le roux s’en était rappelé en rentrant du commissariat . Il irait peut-être avec Atobe. Une fois prêt, il récupéra son portable et alla voir sa mère qui était dans le salon à passé l’aspirateur. Sengoku expliqua rapidement à sa mère où il allait et il partit.

Atobe était un peu angoissé. Il allait passé la journée avec Sengoku mais ne savait pas comment ça allait se passer…Ils sortaient ensemble et ça implique forcément du…sexe. Après tout ce qui lui était arrivé, le châtain ne savait pas si il pouvait le faire. Il était perdu dans ses pensées et n’entendit pas une soubrette frappait à la porte de sa chambre et entrait, aussi il sursauta quand il l’entendit l’appelé tout près de lui.
-Atobe-sama, le jeune homme de la dernière fois est arrivé.
-Bien, faites le monter s’il vous plait.
-Bien.
Elle repartit et Atobe alla près de son lit et posa son portable sur sa table de chevet, attendant le roux. Ce dernier arriva quelques minutes après.
-Sengoku…
Le roux avançait rapidement vers Atobe et quand il fut arrivé à sa hauteur, il l’enlaça tendrement. Il avait l’impression que cela faisait des mois qu’il ne s’était pas vu et pourtant…Il enfouit sa tête dans la nuque du châtain et y déposa quelques baisers qui firent frissonner Atobe.
-C’est enfin fini…
-Qu…quoi ?
-Le voyou et son père vont être arrêtés
-Vraiment ?
-Oui. Mes problèmes sont réglés…
-Nos problèmes…
-C’est vrai.
Les lèvres de Sengoku frôla doucement celle d’Atobe, puis elles se collèrent et ils s’échangèrent un baiser passionné. Leurs langues se redécouvraient, jouant gaiement entre elles (1) et rapidement, le châtain se retrouva plaqué sur son lit, dans les bras de Sengoku qui fit descendre l’un de ses mains le long du torse d’Atobe. Ce dernier rompit le baiser et repoussa la main de Sengoku.
-A…Attend ! Je…
-…
-C’est encore trop tôt…
Sengoku, rouge de honte, se releva et aida Atobe à en faire de même. Evidemment que c’était encore trop tôt…Mais quand alors ? Le roux sentit la main du châtain sur sa joue et un léger baiser fut déposé sur ses lèvres.
-Bon…On fait quoi ?
-J’aimerais…joué un match contre toi.
Atobe était un peu étonné, il s’attendait à autre chose comme une sortie en ville…Il allait demandé pourquoi au roux mais il le devança.
-Je…la dernière fois on n’a pas put joué sérieusement vu que j’étais blessé.
Ah oui…Exact (2). Après tout pourquoi pas. Atobe, suivi de Sengoku, allèrent sur ses terrains privés. Une raquette et une tenue furent prêté pour le roux et ils s’installèrent tout deux sur le terrain après que le châtain se soit changé. Service Atobe. Aucun de deux ne voulaient perdre de jeu et ils jouaient sérieusement. Bien qu’ensemble, ils restaient des rivaux en tennis. Jeu Atobe 1-0, service Sengoku. Le roux était ravi de faire ce match, depuis le temps qu’il voulait en refaire un…Un match où il serait en bonne condition physique, pas comme la dernière fois où il était blessé…Jeu Atobe 3-2. Ce n’était franchement pas la même chose. Le match durait plus longtemps, était plus intense. Atobe avec sa capacité à voir les points faibles de ses adversaires et Sengoku pouvant bien voir les objet en mouvement…C’était assez semblable. Jeu Sengoku 3-3. Ils ne disaient rien et étaient très sérieux. Le match se finit par 6-4 pour Atobe qui s’allongea par terre, essoufflé. Sengoku s’approcha de lui et s’allongea également, sa tête sur le ventre d’Atobe qui lui caressa les cheveux doucement. Le seul bruit que l’on pouvait entendre, était celui de leurs respirations saccadés. A un moment, le ventre de Sengoku gargouilla et Atobe rit mais le sien en fit autant. Alors ils se relevèrent, retournèrent dans la maison d’Atobe et prirent une douche séparément (3).
-On sort ?
-Tu ne veux pas qu’on mange ici ?
-Autant sortir pour ça, non ?
-Tu as raison
Ils se sourirent et partirent main dans la main en ville.

Fin du chapitre 22

(1) Personnification ! *contente de ressortir un peu de ses cours de français*
(2) Voir Chapitre 7. J’étais peu triste pour Sengoku…Il n’avait pas fini son match du coup donc je me rattrape maintenant ^^
(3) Fluteuh >_<


bref...bientôt...je les fais coucher ensemble >_< Depuis le temps xD Après...un autre petit problème va survenir! Mais je n'en dit pas plus ;)

Eh eh eh!!! Enfin, ca revient à du SengokuXAtobe ^^

Ils sont vraiment mignons, et c'est bien qu'ils n'aient pas couché maintenant lol
Et j'ai beaucoup aimé le petit match ^^

Ah voilà un super suite!!!!
Bon dommage qu'il ai rien fait...Mais le match c'était une super idée!^^
T'aime bien nous narguer!!
Allez je veux la suite! X3
[ Enfin comme d'habitude! ^^ ]

Ah vouii tes dessins sont très sympa! ^^

Ohohohoh, sympathique comme idée, le match. Je n'y aurai pas pensé. Mais dis moi, Sengoku pense un peu trop pouvoir passer le cap xD Il est choqué Atobe normalement O.ô"" On s'en remet déjà pas facilement XD. Est il trop pressé ?

Sa soeur appraît. Va-t-elle servir à quelque chose dans la suite de l'histoire ? *curieuse* Et c'est qui son copain ? On le connait ? xD

Sinon, z'veux une souite ! =P

Atobe est choqué...c'est vrai...mais plus pour longtemps >.< je vais pas le laisser dans cette état pendant 50 chapitres ^^'
Concernant la soeur...c'est sa deuxième intervention dans la fic xD On ne la reverra plus je pense et son copain...Mais c'est pas important ça! Oo lol

Toujours pas le lemon...prochain! C'est sur maintenant >.< Bon l'idée du "On est enfermé dans la même pièce, je vais te sauter dessus"...C'est assez très peu original u_u

Chapitre 23

Les vacances était sur le point de s’achever…Cela avait été court, 2 semaines. Sengoku et Atobe était souvent sortit ensemble seul ou avec d’autres couples, notamment et évidemment, Shishido et Ootori, mais aussi Minami et Akazawa. D’ailleurs quand Atobe avait apprit leur relation, il avait été plus qu’étonné. Et apparemment, ce n’était pas les seuls couples, ils y en avait dans toutes les équipes…enfin qu’importe. Pour l’instant, Atobe était en train de finir ses devoirs lorsqu’on frappa à sa porte de chambre. Il se dirigea vers la porte et l’ouvrit, s’attendant à voir Sengoku mais…
-Salut !
Il tenta de la refermer mais rien à faire. Toute son équipe débarqua dans sa chambre.
-Mais qu’est-ce que vous foutez chez Ore-sama ?!
-On vient te rendre visite
-Je crois que j’avais compris ! Qui vous as laissez rentré ?!
Les joueurs de l’équipe Hyotei s’écartèrent et désignèrent Sengoku qui regardait ailleurs.
-…
-Il m’ont suivi désolé.
-Mouais…En tout cas…JIROH !!! Le lit d’Ore-sama n’est pas le tien !
-Tu as fait des cochonneries dessus ?
Sengoku et Atobe rougirent fortement à la remarque de Gakuto, pourtant il n’y avait pas de quoi…De toute les vacances, ils n’avaient rien fait…Rien fait dans le sens…sexuel…
-Jiroh-sempai ! Ne dites pas des choses comme ça !
-Bon…Dégagez !
-Non !
Et tous en chœur ! Bien…Apparemment, son équipe avait décidé de passer la journée avec leur capitaine et son petit copain ! La nouvelle était devenu officiel la semaine dernière quand Oshitari avait vu et prit en photo discrètement, Sengoku et Atobe s’embrassant au cinéma.
Le châtain fit appelé des soubrettes mais personnes ne vint. Il se décida donc à y allé lui-même, laissant son équipe et Sengoku dans sa chambre. Oshitari s’approcha du roux et passa un bras autour de l’épaule du garçon.
-Bon alors…Vous en êtes où ?
-Nul part…
-Comment ça ?
-Bah, on n’a rien fait de spécial.
-QUOI ?!
Sengoku sursauta. Il ne s’était pas aperçu que toute l’équipe Hyotei s’était rapproché de lui, écoutant avec beaucoup d’intérêt la conversation. Oshitari reprit :
-Ca va pas ça…
-Pas du tout même…
-Ca fait combien de temps ?
-Euh…Jiroh me bave dessus…
-Répond
-Bientôt un mois…
-Ca ne devrait pas tarder alors…
-Ma première fois avec Shishido-sempai, c’était deux semaines après qu’on est commencé à sortir ensemble…
-Pas la peine de leur dire ça Choutaro…
-Désolé.
Sengoku rit. C’était bizarre de discuter comme ça avec l’équipe entière d’Atobe…surtout de parler de sa relation avec celui-ci. Jiroh arrêta de lui baver dessus et se redressa, réveillé par Hiyoshi. Kabaji prit la parole, chose qui étonna tout le monde.
-On va t’aider à faire avancer les choses.
C’est à ce moment qu’Atobe revint, suivi de trois soubrettes que Sengoku reconnut comme celles de la dernière fois (1).
-Bon…Tout le monde, sortez de la chambre d’Ore-sama !
-HE ?!
-Je vous vire pas ! Mais on va pas restez toute la journée ici.
L’équipe sortit de la chambre et suivit les soubrettes tandis que Sengoku restait avec Atobe quelques instants.
-De quoi vous parliez ?
-De pas grand chose…De notre relation.
-…Je vois.
Ils sortirent de la chambre et rejoignirent les Hyotei dans la cours, devant la porte d’entrée. Atobe se planta devant eux, les regardant de son air supérieur qu’il avait récupéré. L’affaire de son viol semblait oublié et il était passé à autre chose (2).
-Bon…Vous voulez faire quoi ?
Blanc. C’était bien beau de vouloir aidé Sengoku mais si il n’avait pas d’idée pour rester chez Atobe, ça ne servait rien.
-J’ai toujours rêvé de visité la maison en entière…
Si il n’avait pas fallu paraître « naturels », les joueurs auraient vivement remercié Jiroh. La voilà l’excuse qu’ils leurs fallaient !
-Oui ! On veut !
-N’importe quoi…Et vous me gâchez une journée de vacances pour ça ?!
-J’avouerais que…j’aimerais bien visité aussi.
Atobe rougit et céda au caprice de ses joueurs vu que Sengoku souhaitait la même chose. Ils re-rentrèrent tous dans la maison. Le roux rentra en dernier avec Oshitari.
-Et vous allez faire quoi ? C’est pas que ça m’inquiète mais…
-Tais-toi. Tu verras…
Il y avait de quoi être méfiant. Sengoku avait une vague idée de ce qu’ils avaient en tête mais se tut et rejoignit Atobe qui conduisaient la bande aux cuisines. Ce dernier rit en voyant leur regards ébahis devant la grandeur de la cuisine et devant les cuisiniers qui s’inclinèrent quand ils virent Atobe et toute la bande. Ils continuèrent, visitant chaque chambres à la demande général de l’équipe même si c’était inutile, se ressemblant toutes.
-Et là, c’est quoi ?!
-…Mon ancienne chambre.
-Celle quand t’étais un gamin ?!
-Non. Celle que j’occupais il y a deux ans (3)
-On veut voir !
-Y’a rien de spécial…
-Ouais mais…on s’en fout !
Ils avaient trouvé où leur plan allait débuté, espérant que ça marche. Ils en avaient marre de voir que la relation entre leur capitaine et Sengoku n’avançait pas ! C’était désespérant. Bon ok…Atobe avait été violé et ça avait influencé sur leur relation mais bon ! Atobe n’allait pas resté choqué toute sa vie ! Ce n’était franchement pas son style. Le châtain poussa la porte qui s’ouvrit sur une chambre où les rideaux étaient tiré. Il alluma les lumières et tous virent que c’était une chambre banale, moins rempli de meuble que celle d’Atobe actuellement. Oshitari et Shishido poussèrent Sengoku et Atobe à l’intérieur, suivi des autres qui regardèrent chaque recoin de la pièce sous les regards suspicieux de leur capitaine. Décidément c’était parfait. Gakuto fit un signe discret à Jiroh qui fonça vers le lit d’Atobe qui le rattrapa par le col du tee-shirt.
-Tu n’iras pas dormir sur ce lit !
Il lâcha Jiroh qui courut vers la porte. Atobe se retourna vers celle-ci et vit que tout ses joueurs étaient sortis.
-Qu’est-ce que vous…
Gakuto éteignit la lumière et Shishido referma la porte. Sengoku s’approcha de la porte et tenta de l’ouvrir rien. Elle ne s’ouvrait pas.
-Ils…nous ont enfermé.
-Pff…Les gamins ! Allume la lumière.
Sengoku porta sa main à l’interrupteur et appuya sur le bouton mais la lumière ne s’alluma pas. Atobe s’approcha alors jusqu'à la porte, tambourina dessus et appela.
-Ouvrez !
Il n’entendit que des rires et des gloussements étouffés. Il retenta plusieurs fois mais rien à faire. Sengoku lui, avait comprit le plan des garçons mais doutait un peu de son efficacité. Le châtain se tourna et avança vers lui.
-Bon bah on va ouvrir les rideaux…
Au moment où Atobe passa devant lui, Sengoku le prit dans ses bras et l’embrassa doucement dans le cou. Le châtain se laissa faire. Il ne refusait jamais les caresses du roux. Les lèvres de ce dernier se posèrent sur les siennes et il passa ses mains autour du cou du garçon. Par ce geste, Atobe approfondit le baiser et se sentit poussé doucement. Il se laissa faire, reculant jusqu’à heurter le bord de son ancien lit.
-Sengoku ?
-Désolé…je…
-Vas-y.

Fin du chapitre 23 (4)

(1)Voir Chapitre 16
(2)C’est vite dit =_=
(3)Encore quelque chose d’inutile et de pas important…pour l’instant xD
(4)QUOI ?! O_O et le lemon alors ?! Bon bah…next chapter ;)

C'est rapide pour le coup du récupérage du viol, mais bon, ca finira jamais sinon, alors tu es excusée lol
Et c'est très mignon à la fin, alors j'attends le prochain chapitre avec impatience ^^

Sympa ce chapitre (note, oui je survole de temps en temps et là comme y avait des trucs droles je l'ai lu en entier). Le squattage de l'équipe était sympa, ils aiment se mêler de tout (surtout Oshitari, c'est pas bien ça de prendre les gens en photo sans leur consentement...).

Ah la la ils sont tous curieux! Enfin je serai comme eux jpense alors je vais me taire! XD

Y'a interet que la suite arrive vite! ! !
[ vouii je sais je suis pas patiente! X3 ]

On fait tous passer Oshitari pour un bon pervers ! xD C'est sa voix jap et ses lunettes qui font ça ? Arf ! xD Tensai rime avec hentai ... * va s'enterrer *

Ohohoh, enfermés dans une pauvre pièce et évidemment il n'y a pas de lumière ! Mouhahahah, là, Taaho adorerait apparaître à côté d'eux pour leur faire une peur bleue ... Quoi j'peux pas ? T.T

Taaho wants the next ! x3

fu fu fu; voici la suite x)

Chapitre 24

Il avait rêvé ou Atobe avait…
-Hein ?
Atobe sourit et embrassa Sengoku.
-Je te dis que…
Alors il avait bien comprit ! Le roux passa sa langue le long du cou du châtain et ses mains sous la chemise blanche de son amant allant titillé les deux grains de chair sur son torse. Ils n’entendaient plus les voix de l’équipe et des soubrettes derrière la porte, ils étaient sûrement parti on ne sait où, laissant le couple seul. Sengoku enleva la chemise d’Atobe, découvrant le torse musclé de ce dernier et y passa lentement sa langue, s’attardant sur les tétons qu’il suçota. Le châtain passa ses mains sur le dos du roux sous sa chemise et les ramena vers le torse avant de déboutonner la chemise qui alla rejoindre sa consœur. Une fois qu’il eut fini de jouer avec les grains de chair du châtain, Sengoku continua à parcourir le torse d’Atobe, laissant quelques suçons. Il enleva ensuite le pantalon de son amant. Le châtain se retrouvait avec pour seul vêtement, son caleçon que Sengoku ne comptait pas laissé plus longtemps sur son propriétaire. Atobe frissonna quand il sentit la main du roux enlevait doucement le bout de tissu et il se cambra quand il sentit ses lèvres sur son membre.
-Att…attend qu’est-ce que tu…
Ce à quoi il pensait fut rapidement confirmé. Sengoku prit son membre dans sa bouche et commença doucement à faire des mouvements de va et vient arrachant des gémissements à Atobe. C’était une expérience nouvelle pour lui. Bien sur, il ne disait pas qu’il ne s’était jamais touché avant mais jamais on l’avait…sucé. Le châtain balança sa tête en arrière, laissant échapper un gémissement plus fort. Le roux accéléra le rythme. Il aimait entendre la respiration légèrement saccadé d’Atobe. Il le regarda dans les yeux rapidement et fit parcourir l’un de ses mains valide le long de la joue du capitaine de Hyotei. Ce dernier prit cette main dans les siennes et l’embrassa doucement, suçotant les doigts.
-Em…Embrasse-moi
Sengoku continua de jouer avec sa langue sur le membre du châtain qui poussa un soupir de frustration. Il continua donc de lécher, embrasser, sucer les doigts du roux qui les lui enleva au bout d’un moment. Il prit enfin possession des lèvres d’Atobe et sa main se dirigea vers l’intimité du châtain. Il enfonça lentement l’un de ses doigts humidifié par Atobe dans celui-ci et le cri de douleur du chatain fut étouffé par le baiser. Depuis qu’il avait été violé, il avait un peu de mal avec ses contacts…Cela faisait mal mais pour Sengoku il voulait endurer cette souffrance. De sa main valide, le roux caressa doucement les cheveux du châtain et inséra un deuxième doigt avec l’autre main. Cette fois-ci, Atobe se cambra et failli mordre la langue du roux. Des larmes de douleur coulèrent sur ses joues et le roux rompit le baiser pour les léchaient doucement.
-J’ai…mal
-Désolé, Je vais arrêter…
-Non ! Il faut … que
Sengoku embrassa une nouvelle fois Atobe et commença à faire de lent mouvement de va et vient avec sa main. Il tremblait. Le roux le sentait sous son corps mais il voulait continué. La douleur disparaîtrait dans peu de temps.
-Ah !
Atobe eut un frisson. Là, à l’instant, il n’avait plus eu mal. C’était…bon ? Il ressentit encore cette sensation. Ce n’était pas comme avec le voyou où il n’avait éprouvé que de la douleur. Là, il éprouvait un léger plaisir et Sengoku s’en était rendu compte. Il enleva doucement ses doigts, déposa un léger baiser sur les lèvres du châtain et se positionna. Son membre dressé s’introduisit lentement en Atobe qui poussa un autre gémissement de douleur, sensation qui s’estompa lorsque le roux commença de lent mouvements de va et vient, afin d’habituer son amant à sa présence. Les mains d’Atobe lâchèrent les draps qu’il avait agrippé quand Sengoku l’avait pénétré et allèrent se nicher dans le dos du roux. Le châtain avait les yeux fermés depuis que le roux était entré en lui mais il les rouvrit soudain quand son amant donna un coup de rein un peu plus fort en lui.
-AH !
Il aimait…C’était tellement bon et sans s’en rendre compte, Atobe avait commencé a faire mouvoir son bassin au rythme des va et vient de Sengoku. Ce dernier fit des mouvements un peu plus rapide et enfoui sa tête dans le cou du châtain qui ne cessait de gémir de plaisirs. Le roux était heureux. Cela faisait combien de temps qu’il rêvait de cette instant déjà ? Très longtemps…
-A…Ato…be…AH !
Ils gémissaient ensemble de plaisirs. En sentant Atobe bouger son bassin en même temps que lui, Sengoku eut une idée. Il stoppa ses mouvements quelques instants et les recommença. Il était en rythme mais à l’opposé des mouvements du châtain. Ainsi, son membre pénétrait plus profondément en Atobe, accentuant grandement le plaisir entre eux deux. Sengoku déposa un baiser dans le cou du châtain puis se redressa. Continuant ses va et vient, il prit un des jambes d’Atobe légèrement relevé et y déposa quelques baisers ainsi que quelques suçons. Atobe frissonna et se redressa également, collant son torse contre celui de Sengoku qui sourit face à cette avance du châtain, cette acrobatie surtout. Le capitaine de Hyotei rougit et enfoui sa tête dans le cou de Sengoku. Il faisait bouger son bassin sur le membre dressé du joueur de Yamabuki avec de lents mouvements, profitant un maximum de la sensation que cela lui procurait. Trouvant cette position pas très pratique, le roux se laissa tomber en arrière sur le lit (1). A présent, Atobe le chevauchait. Sengoku rougit en se rappelant d’un rêve qu’il avait fait il y a un moment…(2) Un de ses fantasmes qui se réalisait ! Il posa ses mains sur les hanches du châtain qui avait la tête en arrière, la bouche entre-ouverte et les yeux humidifié par le plaisir sans cesse grandissant. Bientôt, les forces d’Atobe le quittèrent et il laissa son corps retombait doucement sur celui de Sengoku continuant les lents va et vient. Dans cette position, le châtain ressentait encore mieux le membre du roux en lui. Ce dernier sentant le souffle chaud et haletant de son amant dans son cou reprit possession de ses lèvres humides
-Mmmh…
Il approfondi le baiser, caressant amoureusement la langue du châtain qui avait recommençé à bouger sur son membre de façon rapide. Atobe rompit le baiser, haletant, il posa ses mains des deux côtés du corps du roux, s’appuyant sur le lit et effectuant des mouvements plus rapide.
-AH !! Plus…Plus vite !
Sengoku s’exécuta, effectuant des coups de reins plus rapide et plus violent. Bientôt, tout ses muscles se contractèrent et il jouit, son sperme coula le long des cuisses du châtain. Ce dernier le suivi rapidement et éjacula sur le torse musclé du roux. Il se laissa tombé sur celui-ci. Sengoku serra Atobe dans ses bras et se mit sur le côté. Le capitaine de Hyotei se lova contre lui et soupira de contentement. Le roux approcha son visage du sien et chuchota doucement dans l’oreille un « Je t’aime » qu’il lui dit également. Ils restèrent quelques minutes ainsi, reprenant tout deux leurs souffles et la pleine possession de leurs membres épuisaient. Sengoku déposa un baiser sur le front d’Atobe qui s’était endormi. Il sourit et resta quelques instants à le regarder avant de s’endormir également.


Derrière la porte étaient collés, Oshitari, Gakuto, le majordome et les soubrettes. Ils avaient écouté du début à la fin.
-Je suis bien content qu’ils aient enfin baisé !
-On dit couché ensemble quand on est poli Gakuto !
-Ouais c’est pareil…Réveil Jiroh tiens !
Le tensai secoua le blond mais rien à faire.
-Bah…Il gène pas, on le laisse dormir…
-Mouais…Et où sont passés Shishido et Ootori
Le majordome allait répondre quand il fut devancé par une des soubrettes.
-Partit soulagé une pressante envie sexuelle.
-Tu dis ça comme si ils étaient allé pisser…
-Je ne suis pas délicate…
Oshitari, Gakuto et le majordome regardait bouche bée le trio de soubrettes…Les femmes de nos jours !

Fin du Chapitre 24

(1)heureusement que c’est un grand lit xD
(2)Chapitre 2 xD